Exposition Le rire des amants une épopée afghane, une exposition avec:
• Le ciel des yeux de Reza
• L’amère rosée de Roya Heydari
• L’audace de la beaut de Fatimah Hossaini
• La couleur pour survivre de Roshanak
• Terres sombres de Naseer Turkmani
• Wrong place? de Massoud Hossaini
21 janvier au 2 avril 2022 Carré de Baudouin 121 rue de Ménilmontant 75020 Paris du mardi au samedi de 11h00 à 18h00. Nocturne le jeudi jusqu’à 19h00.
RESISTER EN POÉSIE
Le monde entier s’est ému sincèrement de la tragédie afghane, du sort du peuple afghan, celui des femmes et des filles plus particulièrement, alors que le pays était laissé aux Talibans.. L’émotion, la mobilisation pour la « cause » afghane aussi sincères qu’elles furent ont été chassées par d’autres sujets… et ont disparu des réseaux sociaux, des plateaux de télé, des journaux, des dîners en ville. L’éphémère régit notre posture au monde.
Et pourtant, la souffrance est là, de celles et ceux contraints à l’exil, de celles et ceux restés en leur pays dans la terreur quotidienne.
Alors que faire pour que notre indifférence ne creuse pas un plus la blessure déjà si vive?
Nous avons trouvé une réponse parmi d’autres avec Mairie du 20e .
Nous avons imaginé une exposition de six photographes (3 femmes et 3 hommes), en exil de leur pays dont nous montrons le regard singulier sur l’Afghanistan et le peuple afghan autour de l’œuvre du plus grand poète et écrivain afghan, Sayd Bahodine Majrouh.
L’ART?
UN ACTE DE RÉSISTANCE CONTRE L’OUBLI.
Rencontre et débat autour de la situation des médias en Afghanistan, dans le cadre de l’exposition le rire des amants, une épopée afghane, avec Fatimah Hossaini, photographe, récemment exfiltrée, Olivier Weber, grand reporter, Dimitri Beck, Directeur de la photographie de Polka, REZA, photographe humaniste.
Rencontre animée par Pierre Bongiovanni, auteur et co-commissaire de l’exposition et Del Deghati, coordinateur de l’exposition.
Un livre à paraître le 28 octobre 2021 chez Gallimard.
80 oeuvres inédites de Plantu et Reza, témoins privilégiés des événements de ces dernières décennies, qui portent leur regard humaniste sur le monde, appelant à la paix et au dialogue. Plantu et Reza ont entamé ces dernières années une collaboration fructueuse, suivant leur désir de faire oeuvre commune, de marier leurs deux regards sur le monde et leurs modes d’expression. Ils ont ainsi imaginé près de quatre-vingt oeuvres associant les dessins de l’un aux clichés de l’autre.Ces créations, commentées par Plantu et Reza, sont réunies dans réunies dans cet ouvrage pour la première fois.Parmi les thématiques abordées, on retrouve les sujets chers aux deux artistes : les droits des femmes et des enfants, l’environnement, les bouleversements du monde, les enjeux de pouvoir et, bien sûr, la défense de la liberté d’expression. En ouverture, un texte de l’écrivain et critique d’art Pierre Bongiovanni présente le travail unique de ces deux fins observateurs et fervents pacifistes.
L’installation artistique Renaissance qui, depuis le 7 juillet, a transformé la ville de Pierrefitte-sur-Seine en une galerie à ciel ouvert dédiée à la photographie, se poursuit sur les facades, sur les grilles…et s’enrichit d’une exposition en intérieur à l’espace Maurice Utrillo dans lequel les destins d’enfants et de femmes sont mis à l’honneur. Après des visites guidées à l’occasion des Journées du Patrimoine en septembre 2021, les élèves de la ville viendront visiter l’exposition.
Reza donnera une conférence en octobre à une date à confirmer
Un jour, nous avons ouvert la fenêtre sur le monde. Nous y avons vu ses chagrins et nous nous sommes attachés à sa beauté.
Les chemins multiples empruntés par le photographe Reza depuis 40 ans, entre guerres et paix, l’ont conduit à la rencontre d’enfants, de femmes et d’hommes dont le destin, unique, l’a marqué. Proche de chacun d’eux, au point de sentir leur souffrance comme leur joie, il raconte grâce à cet alphabet universel qu’est la photographie, leurs mémoires d’humains. Au-delà des frontières, des diversités culturelles, des guerres meurtrières, ses images ne disent pas le seul constat triste de vies mutilées. Si elles sont témoins, elles tendent à montrer le sourire derrière les larmes, la beauté derrière la tragédie, la vie toujours plus forte. Cette exposition de photographies saisies en France et dans le monde, raconte notre famille humaine et rend un hommage particulier aux femmes.
Chapelle de l’Observance, dans la ville de Draguignan
1 octobre 2021-8 janvier 2022
Une conférence sera donnée par Reza en octobre (date à confirmer)
Extrait d’un carnet de routes d’une résistance annoncée.
Aujourd’hui, l’Afghanistan, pays d’âmes rebelles contre tout envahisseur depuis toujours est au crépuscule d’un jour. La nuit à venir sera sans doute longue et sombre. Après vingt années de graines semées de liberté d’être et de penser, le peuple afghan a perdu une bataille contre le fondamentalisme mais il n’a pas perdu la guerre. Nous résigner à oublier leur rêve et leur combat, condamnerait un peu plus ces âmes rebelles. Depuis 1983, au fil de ses reportages et ses actions bénévoles d’éducation et de formation aux métiers du journalisme, de la culture de femmes et d’hommes, le photographe REZA, a tissé un lien particulier avec l’Afghanistan, son peuple et Massoud, chef charismatique de la résistance jusqu’en 2001.
Cette exposition est un acte de résistance contre l’oubli.
Une exposition photographique de Reza à l’Espace Carpeaux, 15 Boulevard Aristide Briand 92400 Courbevoie du 23 septembre au 23 octobre 202, à l’occasion du Festival Atmosphère du 6 au 10 octobre 2021, dont Reza est le parrain.
Dans le cadre de la manifestation artistique les Origines du Monde, la Maison Laurentine présente Une odyssée contemporaine par Reza, une invitation à suivre son chemin et aller à la rencontre de plus humanité, entre le chagrin et la joie à travers la mémoire visuelle de 40 ans de reportages dans le monde.
La Maison Laurentine, centre d’Art et résidence d’artistes en Haute Marne organise une manifestation artistique annuelle. Cette année, la manifestation artistique Les Origines du monde rassemble peintres, photographes, auteurs et auteures, artiste numérique, sculpteurs, conférenciers et conférencières, praticien de médecine alternative, musiciens et conteurs, soit une quarantaine d’artistes.
4 juillet – 12 septembre 2021
Site le Chameau, Salle de l’Expédition, 4 rue de Châtillon 52120 Châteauvillain
Dans le cadre de la manifestation artistique les Origines du Monde, la Maison Laurentine présente pour la première fois l’Épaisseur du Silence, une première sélection de photographies énigmatiques saisies par Reza au fil des quatre décennies de photographie, parallèlement à son regard de témoin du monde. Ces images invitent à une méditation intérieure.
La Maison Laurentine, centre d’Art et résidence d’artistes en Haute Marne organise une manifestation artistique annuelle. Cette année, la manifestation artistique Les Origines du monde rassemble peintres, photographes, auteurs et auteures, artiste numérique, sculpteurs, conférenciers et conférencières, praticien de médecine alternative, musiciens et conteurs, soit une quarantaine d’artistes.
4 juillet – 12 septembre 2021
Site le Chameau, Salle de l’Expédition, 4 rue de Châtillon 52120 Châteauvillain
Le festival No Mad invite Reza pour son édition 2021. Son exposition ENVOLS sera installée sur le parvis devant la gare de Cergy Préfecture du 22 juin au 21 juillet 2021.
le 1er juillet une projection d’un film sur Reza suivi d’un échange avec le public se déroulera à 20h30 dans le Cinéma Royal Utopia, 14 rue Alexandre à Prachay Pontoise
Dans le cadre de l’Initiative conjointe UE-OIM pour la protection et la réintégration des migrants, le Bureau régional de l’OIM pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre basé à Dakar et la mission de l’OIM au Nigeria ont sollicité Reza, chargé de former un groupe de Nigerians de retour et de journalistes professionnels à la photographie afin de promouvoir l’expression et le partage de l’expérience migratoire par la photographie et l’écriture. À travers le développement des capacités d’expression des migrants de retour et la promotion d’un journalisme citoyen, cette formation vise à faciliter l’insertion des bénéficiaires de l’Initiative conjointe et sensibiliser le grand public aux questions migratoires à travers des histoires et témoignages authentiques ainsi que des articles journalistiques informés. En mars 2021, la formation en présentiel a eu lieu au Nigéria suivie d’un accompagnement à distance jusqu’au 31 mai 2021.
La photographie bâtit des ponts, nourrit les échanges, rapproche les êtres. C’est non pas l’image prise, mais l’image donnée qui a permis à Florence At et à Reza de se rencontrer. Deux photographes aux profils et aux visions complémentaires, animés d’une même passion pour l’image et du désir de la partager avec le plus grand nombre.
De cette rencontre sont nés une solide complicité et l’investissement de Florence dans les Ateliers Reza organisés par Rachel Deghati dans différentes banlieues de France et à travers le monde.
Avec cet ouvrage, véritable carnet de route humaniste, ils concrétisent un peu plus cet engagement. À la fois recueil de photos et livre didactique, il exprime en 10 leçons tout ce qui fait les spécificités, la beauté et la noblesse du photoreportage, une activité hors du commun exercée par des femmes et des hommes d’exception, précieux témoins de notre époque.
Un ouvrage illustré par les œuvres incomparables de Reza, riche des récits de Rachel Deghati et des considérations pratiques et esthétiques de Florence At. Une invitation au partage et aux rencontres, une plongée inédite et passionnante dans les coulisses du métier de photographe.
Une exposition en plein air dans la ville de Rochechouart, dans la région de Nouvelle Aquitaine qui invite à explorer la relation entre l’homme et la nature. le photographe Reza partage quelques photographies de certains des pays où ils s’est rendu depuis 40 ans de reportage, tels que L’Afghanistan, l’Arabie Saoudite, l’Azerbaïdjan, la France, le Gouvernement régional du Kurdistan-Irak, le Guatemala, l’Inde, le Turkménistan, la Turquie. Il sera présent à Rochechouart du 17 au 20 juin pour des visites guidées destinées au public, des rencontres avec les scolaires, une conférence suivie d’un débat et de signature de livres le 19 juin.
Dans le cadre du Learnings Show de Rennes, REZA est un des intervenants de ces rencontres. Il donne une conférence le 16 octobre 2019 à 20h00 au Couvent des Jocobins, place Sainte Anne à Rennes.
Pour toute information: https://www.learning-show.com/programme
REZA sera à Tulle pour le vernissage de son exposition (2 au 17 novembre 2019) Rêves d’Humanité co-organisée par Webistan et le Photo-Club ASPTT TULLE, dans le cadre du XXème Festival d’Art Photographique International. Il donnera une conférence suivie d’une rencontre avec le public le samedi 2 novembre dans la salle des fêtes de la ville.
En parallèle de sa politique de tirages de collection, l’agence Webistan renouvelle son opération spéciale de vente d’une série de tirages, disponibles dans un temps limité et en format unique.
Flammes est une véritable ode au dernier élément.
Vente jusqu’au 22 octobre 2019
À partir du 23 octobre, ces tirages ne seront plus disponibles
dans ce format et à ce tarif.
Impression sur papier photographique, réalisée sous le contrôle de l’auteur
Format: 21×31 cm
Apposition du tampon sec / cachet de l’artiste
Document avec légende de la photographie
Emballé dans une enveloppe protégée et envoyée avec suivi
Témoins de leur destin
Une exposition photographique de 60 adolescents turcs et réfugiés syriens
Le projet Youth Lens
Lancé en 2018, le projet Youth Lens sous l’égide d’Unicef en Turquie, vise à former au langage de l’image 60 jeunes d’Izmir, Gaziantep et Istanbul.
Dans le cadre de cette formation, ils découvrent l’outil photographique, se familiarisent avec la narration visuelle pour raconter en image leurs réalités et leurs rêves. Ils partagent différents aspects de leur vie suivant des thèmes précis à explorer. Témoins, ils deviennent ainsi acteurs de leur quotidien, ils s’approprient leur destin et se projettent dans leur avenir.
Jeunes réfugiés syriens et adolescents turcs, rassemblés autour d’un projet commun, apprennent à partager et vivre ensemble, contribuant ainsi à la cohésion sociale de leur environnement. Au regard de l’actualité, il est fondamental de donner une résonance à ces actions qui participent à bâtir des ponts.
L’exposition Rêves d’avenir est un outil de sensibilisation. Elle vient concrétiser, les actions de formation au langage de l’image en rendant hommage aux photographies des 60 jeunes. Derrière cet événement, l’enjeu est d’attirer l’attention d’un public international, de démontrer l’impact positif du programme d’éducation non formelle sur la vie quotidienne des jeunes et de souligner l’importance de la coexistence pacifique qui en découle.
Youth Eyes on the Silk Roads. Quand des jeunes réenchantent en photos la Route de la Soie
Magnifique exposition photo du 2 au 12 avril à l’UNESCO sur la nouvelle(s) Route(s) de la Soie
Le concours international de photographie “le Regard des Jeunes sur les Routes de la Soie” s’est déroulé entre le 11 avril et le 22 juillet 2018.Il a été organisé dans le cadre du Projet Routes de la Soie de l’UNESCO, le Programme Jeunesse de l’UNESCO et la Décennie internationale du rapprochement des cultures (2013-2022). Il a bénéficié de l’aimable soutien et des précieux conseils du photographe renommé et engagé Reza.
Ce concours donne une bonne opportunité aux jeunes de régions différentes du monde de capturer visuellement leur vision/compréhension et impressions de leur héritage commun des Routes de la Soie, dans leurs pays respectifs.
Extrait de l’article de Frenchtouch2: Youtheyes on the silk road
Documentaire réalisé par REZA sur Roland Dufau qui passa 37 ans à tirer les images des plus grands photorgaphes sur la papier mythique, le Cibachrome. Diffusé sur la chaine franco-allemande ARTE dimanche 24 mars 2019 à 00:35 et en replay sur Arte TV pendant 3 ans.
Le travail photographique des enfants réfugiés syriens formés par Reza et quelques images du photographe sera présenté par l’association Les Ateliers Reza lors du forum de Rhodes organisé par DOC les 5 et 6 octobre 2018.
Dans le cadre du Festival Phot’Aubrac 2018, la Mairie de Nasbinals accueille l’exposition URBAN VOICES composée de 30 tirages des jeunes argentins formés par les Ateliers Reza.
Cette exposition est le résultat d’une formation à la photographie menée par Reza en 2017 dans deux quartiers défavorisés de Buenos Aires, Fuerte Apache et Villa 21-24, et destinée à 50 jeunes âgés de 13 à 20 ans.
URBAN VOICES
du 20 au 23 septembre 2018
Mairie de Nasbinals
Rue Principale
48260 Nasbinals
Dans l’Iran de son enfance, REZA a connu la prison à cause de ses premiers clichés. Exilé, il est devenu une figure internationale du photojournalisme. Depuis plus de 35 ans, il témoigne inlassablement des tourments et des beautés de l’humanité. Pour l’édition 2018 des Solidays, il viendra partager une réflexion visuelle sur l’errance de notre famille humaine à travers l’Histoire, et dire notre devoir de solidarité envers ceux qui sont encore en mouvement.
La “House of Lucie” programme une exposition de photographies iconiques de Reza dans le cadre de de sa série présentant le travail des lauréats des Lucie Awards.
L’exposition sera présentée dans le programme officiel de Photobangkok – biennale de photographies de la ville. Conformément à la mission éducative de la “House of Lucie”, l’accès à l’exposition sera gratuit.
Le deuxième événement de la série «National Geographic On Campus!» aura lieu le 7 mai à l’Université Boğaziçi, en Turquie.
Organisé conjointement par le “Policy Center” de l’Université Sabanci Istanbul , la “Boğaziçi University Agricultural Platform” et National Geographic, la conférence réunira le photographe et explorer REZA, dont les photographies sont apparues sur les couvertures de divers magazines tels que National Geographic, Time Magazine et Newsweek et l’Assoc. Prof. Barış Karapınar, boursier de Mercator-IPC, expert en changements climatiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat des Nations Unies. Tous deux discuteront des effets du changement climatique sur la sécurité alimentaire et la pauvreté.
Le changement climatique et notre monde:
Conférenciers: Reza & Assoc. Prof. Barış Karapınar
Lieu: Salle de conférence du rectorat de l’université de Boğaziçi, Bebek, Istanbul
Date: lundi 7 mai 2018
Heure: 14h00-16h00
NOTE: Cet événement est ouvert à tous. Les participants doivent s’inscrire à l’événement en utilisant le lien ci-dessous. Les interventions seront en anglais.
A l’occasion de la journée internationale de la femme, le 8 mars 2018, l’Ambassade de France à Buenos Aires invite le photographe Reza à exposer 20 destins de femmes entre luttes et grâce.
Exposition sur les grilles de l’Ambassade jusqu’au 30 juin 2018.
Le Département d’Etudes iraniennes de l’Université de Stanford invite le photographe Reza à donner une conférence exclusive sur le pouvoir de la photographie pour le changement social Mardi 13 mars à 18h30 Pigott Hall, bâtiment 260, salle 113. Entrée libre
Le Défi #Diversité: genre, âge, handicap, statut LGBT, nationalité, origine ethnique ou race. Comment pouvons-nous assurer la pleine intégration économique et sociale des différents groupes? Pour en savoir plus et suivre réflexion et échanges, venez ce lundi 22 à #DiversityForum et participez à une présentation interactive par Reza sur son engagement et son exposition de photographies “One World One Tribe”, présentés au Centre de conférences de l’OCDE.
Depuis plus de trente-cinq ans, Reza a photographié les héros silencieux de notre humanité, ces destins croisés sur les routes du monde qui lui ont appris que la solidarité est aux fondements de nos sociétés, et que nous avons la responsabilité de répandre ce message. Ainsi, chaque dialogue, chaque échange, sera le porte-voix de notre famille : la Famille Humaine.
Parrain photo ethno de la 21ème édition du Festival Photo Montier, Reza présentera l’exposition “Une Terre, Une Famille” au COSEC et proposera une conférence intitulée “La Nature de l’Homme” le 18 novembre, à 14h.
Au commencement, était l’atteinte à la liberté de l’homme.Oppression, répression, torture, guerre, massacre, pour délit de différence, de couleur, de pensée, de position politique, de conviction religieuse : tout est prétexte à vouloir asservir l’autre. Oui, au commencement, c’est un Etat qui ne veut ou ne peut garantir la liberté à un citoyen. Parfois, sa passivité en fait un complice silencieux. L’exode est alors la seule route pour continuer à vivre.Au bout du chemin parfois difficile du départ, souvent au péril de sa vie, l’exil, vers ces terres d’asile accueillantes, reste le refuge dans lequel chacun s’efforce de survivre, de reconstruire. En soi, le souvenir du pays perdu et la déception de la terre promise.Au-delà de la joie d’être libre, en soi, la fracture physique et intellectuelle du deuil de sa terre. Une odeur, un goût, un paysage, un visage, la mélodie de sa langue, le rythme de son pays : les joies du présent de l’exilé sont pleines des mémoires de son passé. Dans l’ailleurs à bâtir, l’exilé avance sur la frontière intime entre sa guerre et sa paix intérieure.
Rachel Deghati & Reza
Invité d’honneur du cycle “Iran, Syrie, Irak… Un autre regard” de la ville Sotteville-lès-Rouen, Reza investit sa bibliothèque, aux côtés des enfants réfugiés syriens formés à la photographie par l’association Les Ateliers Reza, pour inviter à une réflexion sur notre humanité. Une rencontre est organisée avant le décrochage de l’exposition, en présence du photographe.
REZA sera à Santa Fé en novembre pour animer des ateliers de formation à la photographie avec les étudiants de l’Institute of American Indian Arts. Il profitera de sa venue pour proposer une conférence et organiser une exposition sur ses 35 ans de reportages sur les routes du monde, à témoigner des guerres et des catastrophes, mais aussi d’un espoir infaillible en un monde en paix, et ses formations au langage universel de l’image.
7 novembre 2017
Vernissage au Musée des arts autochtones contemporains de l’IAIA
Le festival Echos d’Ici Echos d’Ailleurs rend hommage au réalisateur Christophe De Ponfilly et célèbre cette année son 10è anniversaire : projections de films, de documentaires, conférences et signatures d’ouvrages sont au programme. Le photographe Reza parraine le festival depuis son lancement, et Webistan accompagne chaque année sa participation réelle ou de parrainage.
Dans le cadre de la seconde édition du Festival des Nouvelles Explorations du 4 au 7 octobre 2017 à Royan, l’agence Webistan participe à travers l’exposition de quelques unes des photographies les plus emblématiques du photographe Reza et coordonne une conférence de ce dernier, autour de la thématique Une Terre, une Famille.
Reza sera présent pendant toute la durée du Festival.
Sa conférence se déroule le 4 octobre à 20h30 Salle Saintonge, 42 ave des Congrès 17 200 Royan
Une vente et signature de livres de Reza et de posters sera proposée.
Depuis 1980, le photographe Reza mène un reportage au long cours sur le peuple kurde. En 2013, il entreprend un grand travail photographique sur le Kurdistan irakien.
Encore méconnue du grand public, cette terre qui garde les traces des conflits du Moyen-Orient et constitue aujourd’hui le principal rempart contre l’avancée de l’organisation État islamique, porte une société moderne, ouverte au monde. Aujourd’hui, son autonomie est interrogée par référendum. Reza couvre cet événement au Kurdistan iraquien.
Pour toute demande, contacter: laetitia.barth@webistan.com
L’âme des Villes. Sur une idée originale de REZA, cette vidéo produite par Webistan met en exergue l’importance d’apporter l’art au cœur des villes à l’occasion du lancement du dernier rapport de l’Unesco “Culture: Urban Future”.
L’âme des Villes. Sur une idée originale de REZA, cette vidéo produite par Webistan met en exergue l’importance d’apporter l’art au coeur des villes à l’occasion du lancement de dernier rapport de l’Unesco Culture: Urban Future.
Dans les quartiers de Ejército de los Andes (Fuerte Apache) et Villas 21-24, la formation au langage de l’image des jeunes va se conclure par leur exposition Urban Voices dans le cadre de Biennal Sur, au centre de Buenos Aires. Formation délivrée par l’association Les Ateliers Reza en partenariat avec Webistan, avec l’appui de Untref, celle-ci s’est déroulée sur plusieurs mois.
Depuis 2013, Reza a arpenté le Kurdistan iraquien méconnu malgré le rôle majeur qu’il occupe dans l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient. Il posé son regard de témoin sur un pays et un peuple entre guerre et paix, entre traces d’un passé historique et modernité économique et sociétale, entre chagrins des exactions commises hier sur le peuple kurde et espoir d’une reconnaissance de son identité.
Le Festival International de photographie – Hyderbabad 2017 invites Reza à témoigner de son parcours de photographe et son engagement à diffuser le langage de l’image auprès de jeunes publics dans des sociétés civiles endommagées.
Depuis 2013, le photographe Reza a arpenté au fil de nombreux reportages au long cours, une région méconnue malgré le rôle majeur qu’elle occupe dans l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient. Au Kurdistan irakien, il a posé son regard de témoin sur un pays et un peuple entre guerre et paix, entre traces d’un passé historique ancestral et modernité économique et sociétale, entre chagrins des exactions commises hier sur le peuple kurde et espoir d’une reconnaissance de son identité. Le livre Kurdistan Renaissance dont Webistan a accompagné la publication, est un témoignage intime et exclusif.
Chaque année, le 20 novembre, le monde se réunit pour célébrer les droits de l’enfant. En cette année spéciale, nous célébrons le 70ème anniversaire de l’UNICEF, qui marque sept décennies de travail sans relâche pour faire progresser les droits de chaque enfant – partout dans le monde. Pour souligner ce moment important, l’UNICEF a invité sept artistes renommés à unir leurs forces dans une exposition photo/vidéo qui se tiendra au Musée CerModern d’Ankara à partir du 22 novembre.
Reza aura le plaisir de présenter certaines de ses photographies à l’occasion de cette exposition qui s’inscrit dans la lignée de ses engagements en faveur de la défense des droits des enfants, et de l’éducation.
Résistances est un hommage aux âmes rebelles croisées par le photographe sur les routes du monde. Qu’est-ce qui pousse à poursuivre la marche dans les montagnes, lutter contre des empires, oeuvrer en silence à l’équilibre du foyer au quotidien, veiller
patiemment la dignité des siens, élaborer une stratégie de paix ? Quel est le moteur du résistant ? Le rêve ? La poésie ? La rébellion ?
Véritable réflexion visuelle, l’exposition et la conférence de Reza, proposés à l’initiative de SOLIDAYS, sont un hommage à celles et ceux qui cultivent les graines derésistances sur leurs chemins de vie.
Au-delà des frontières, des diversités culturelles, des guerres meurtrières, ces images ne disent pas que la tristesse de vies mutilées. Si elles sont témoins, elles tendent à montrer le sourire derrière les larmes, la beauté derrière la tragédie, la vie, plus forte que la mort.
En parallèle de l’exposition de Reza, Une Terre, Une Famille
Depuis toujours, le photographe Reza attache une importance capitale à transmettre les témoignages visuels que lui confient ceux qu’il croise sur sa route de photojournaliste depuis plus de quarante ans. Ces portraits, ces scènes de vie saisis avec son appareil photo, ne lui appartiennent pas. Ils témoignent des réalités multiples de notre famille, la famille humaine.
Ainsi, de reportages en expositions internationales, Reza fera cet été halte à Moncoutant, où il est très heureux d’être l’invité d’honneur du Festival Photo Moncoutant 2016.
Le vernissage de son exposition Une Terre, Une Famille, présentée dans le parc du château de Genève, sera suivi d’une conférence publique.
«L’exil à travers les yeux des jeunes reporters de camp»
Depuis 30 ans, le photographe Reza témoigne des dures réalités de l’exil. Il contribue à sa manière à panser les blessures invisibles, en particulier celles des enfants et des jeunes. Pour répondre au désoeuvrement des camps, il leur transmet une nouvelle langue universelle : celle de l’image, afin qu’ils deviennent les reporters du camp, acteurs de leur propre réalité, à partager avec le reste du monde.
En décembre 2013, Reza se rend dans le camp de réfugiés syriens de Kawergosk, au Kurdistan Irakien. Il met en place un atelier photographique inédit pour les enfants du camp, âgés de 10 à 15 ans. L’âge de la curiosité exacerbée, de la pureté visuelle d’une vie nouvelle à raconter chaque jour.
L’exil, le déracinement des enfants
Maya Rostam a 12 ans. Elle aime rire, jouer avec ses amis. Ses rêves sont nombreux : tout lui paraît encore possible. Pourtant, ils s’effondrent le 17 août 2013, lorsqu’elle quitte sa Syrie natale, chassée par les bruits de la guerre. C’est dans le camp de Kawergosk, à quelques kilomètres d’Erbil, que Maya et les siens trouvent refuge, comme des milliers de familles réduites à une vie précaire, faite des quelques éléments emportés dans leur fuite. « Quand on est refugié, on a tout perdu sauf l’espoir». ». Aujourd’hui, Maya et sa famille ont gagné la Turquie, pour bâtir à nouveau les fondations d’une possible vie retrouvée.
Deliar, Solav, Maryam, Zeraf … Tout comme Maya, 17 enfants ont rejoint la formation à la photographie du camp de Kawergosk, pour témoigner de leur vie quotidienne. Armés d’un appareil photo fourni par Reza, ils ont appris l’impact de l’image, comme une preuve à fournir au monde. Non pas la technique photographique, mais plutôt à regarder le monde à travers la lentille d’un appareil, et le révéler. « Je veux apprendre la photographie parce que je crois que comme ça, tout le monde pourra voir ce que je sens, et ce que nous vivons » confie Maya à Reza.
L’atelier photographique de Kawergosk ou le souffle d’une nouvelle vie
Deux ans se sont écoulés : ces enfants de Kawergosk écrivent leur histoire quotidienne grâce à la photographie. Encadrés par Mohammad Qaddri, un journaliste syrien réfugié formé par Reza, ils continuent à photographier leur vie dans le camp. Certaines de leurs images, exposées à l’été 2015 sur les berges de Seine à Paris dans l’exposition Rêve d’Humanité conçue par Reza, ont touché le monde entier. Ils ont révélé un autre regard sur les camps de réfugiés et l’exil : celui l’enfance, mêlé d’innocence, de lucidité et de blessures, mais aussi d’espoir. Encadrés par leur formateur, leur talent et leur progrès technique indéniables font la lumière sur une réalité dont nous ignorons souvent les multiples visages.
En octobre 2015, Reza lance une nouvelle formation, auprès de jeunes Yézidis, au Kurdistan Irakien : 10 filles, et 10 garçons entre 17 et 20 ans, qui deviendront eux aussi les témoins de leur existence. Un regard qui participera à leur résilience.
Pour la seconde fois, je suis heureux de faire escale à la Kedge Business School de Marseille, qui forme les jeunes femmes et hommes aux défis du monde de demain : un monde pluriel, où l’approche pragmatique devra être conjuguée à nos valeurs humaines.
Retrouvons-nous le 2 mai prochain à 17h30, afin d’échanger autour de l’image comme un facteur de changement social.
Le Festival International du Grand Reportage d’Actualité (FIGRA) au Touquet est une institution incontournable pour la profession et ce, depuis 1993. Il se tiendra du 30 mars au 3 avril. Pour autant, ce festival souffre de coupes budgétaires qui pourraient mettre en péril sa viabilité.
Comment refuser la demande d’un ami? Quand Alain Mingam m’a sollicité pour soutenir le FIGRA, par une de mes expositions, je n’ai pu refuser.
Actuellement en reportage au Kurdistan irakien, je ne serai pas présent. Mais, bien plus importante que ma venue, sont quelques unes de mes photographies dans le cadre de cette exposition “Guerre et paix”, prises au fil de mes 35 ans de reportage.
‘Université de la Terre, portée par la Fondation Nature & Découvertes, regroupe à l’UNESCO des figures éminentes des mondes des médias, de la politique, de l’économie ou encore de la culture, autour d’une même préoccupation : la sauvegarde de nos environnements terrestres et humains. Reza prendra part au débat proposé le 5 décembre 2015 à 18h30, aux côtés de Frédérique Bedos, Fondatrice du Projet Imagine et journaliste, de
Une exposition photographique sur le dialogue interreligieux
par REZA
Avec l’aimable collaboration de la fondation Heydar Aliyev, en partenariat avec la Mairie du 1er arrondissement et
le Comité d’animation culturelle du 1er.
Mairie du 1er, 4 place du Louvre 75001 Paris
19 août – 10 septembre 2015
Témoin du chaos de la guerre et de ses ravages depuis 40 ans, Reza saisit la résilience de ceux qui endurent l’inconcevable, observant surtout la beauté de la vie qui persiste, toujours. De cette quête visuelle est née sa volonté de mettre en lumière « les enfants d’Abraham », cherchant à montrer ce qui rassemble plutôt que ce qui divise. Ainsi, l’exposition Azerbaïdjan Terre de Tolérance à la Mairie du 1er arrondissement de Paris présente une série de reportages au sein des communautés religieuses chrétiennes, musulmanes et juives qui cohabitent en Azerbaïdjan, toutes animées d’un profond désir de partage, de respect et de dialogue avec l’autre. Cette exposition fait la lumière sur les ponts communautaires millénaires que chaque groupe religieux a tissé avec l’autre. Un rêve éveillé qu’un jour, ce vivre ensemble puisse se diffuser partout dans le monde.
Une exposition sur la rive droite de la Seine à Paris (en face au Musée d’Orsay) présente une fresque photographique de 370 mètres conçue par le photographe Reza sur notre famille humaine.
Le monde de demain, pour être apaisé et porteur de progrès social, demande de mettre l’accent sur la fraternité. Ainsi, la série de projets Rêve d’Humanité fait le choix d’un dialogue universel et invite à une réflexion sur l’altérité.
Parallèlement à son travail de photojournaliste, REZA s’engage bénévolement, depuis plus de trente ans, en mettant l’éducation visuelle informelle des populations vulnérables au service d’un monde meilleur.
Pour le lancement du projet au long cours, l’exposition Rêve d’Humanité s’installe sur les Berges de Seine, et propose une réflexion autour de sept messages, clés de voûte de nos valeurs humaines.
Soutenue par la fondation photographique HIPA qui met l’image au cœur de ses actions à travers le monde,Rêve d’Humanité est un hommage aux visages de la diversité et l’action du HCR, l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés.
Rêve d’Humanité présente :
Les images des enfants réfugiés de l’atelier photographique du Camp de Kawergosk, au Nord du Kurdistan Irakien, mené par REZA dans le cadre de son projet Exile Voices.
Les portraits d’enfants syriens d’un camp de réfugiés du nord de la Jordanie par Ali Bin Thalith de la fondation HIPA et photographe professionnel, dans le cadre du projet « Faces »
Des photographies de REZA, qui témoignent de moments tragiques de l’Histoire et du parcours de réfugiés. Son regard cherche également à révéler la beauté de l’humanité dans sa diversité.
L’installation Rêve d’Humanité a vu le jour grâce à la Fondation HIPA (Hamdan bin Mohammed bin Rashid Al Maktoum International Photography Award)from Dubai in the United Arab Emirates,
Publication d’un porfolio sur le site Maptia et participation de Reza à une exposition au CESE en partenariat avec ARTE et UNHCR.
« La grandeur d’une nation se mesure à la façon dont elle traite ses membres les plus faibles. » – Mahatma Gandhi
“A mes yeux, les réfugiés sont les membres les plus vulnérables de notre société, de notre famille humaine.
Depuis plus de trente ans, je témoigne des conflits qui ravagent le monde. Les réfugiés, les déplacés, les exilés sont les victimes des barbaries de l’homme et du chaos de l’Histoire. Leurs vies d’errance résonnent profondément en moi. Parallèlement à mes reportages, depuis 1983, je mène à titre bénévole des actions de formation au langage de l’image, partout dans le monde, afin que les réfugiés et les êtres vulnérables passent du statut de victimes passives à celui d’acteurs de leur destin.
2015 marque le début de mon grand projet photographique “Exile Voices” entre reportages et formations dans les camps de réfugiés.”
Le monde est devenu mon pays. Je le parcours comme photographe et témoigne de ses errances, entre guerres et paix. Mon port d’attache est Paris, et je témoigne aussi des plaies de notre humanité.
En 1987, j’attends avec impatience de découvrir Bakou où je suis invité. Je sais que je pourrai y puiser un souffle d’enfance. C’est ma première fois en Azerbaïdjan où je me rends régulièrement depuis cette année-là. J’y couvre pour les médias internationaux des moments forts et tragiques de l’histoire du pays en 1990 et 1992.
Au fil des décennies qui suivent, je rencontre le peuple des villes et des montagnes, j’arpente le pays sur lequel je porte un regard de découverte et d’exploration visuelle.
Azerbaïdjan, l’Elégance du Feu est une promenade visuelle et poétique, un témoignage en images de l’évolution d’un pays, de la pluralité et la richesse de son identité culturelle ancestrale.
Azerbaïdjan, l’Élégance du Feu par REZA. Textes Rachel Deghati.
Le monde est devenu mon pays. Je le parcours comme photographe et témoigne de ses errances, entre guerres et paix. Mon port d’attache est Paris, et je témoigne aussi des plaies de notre humanité.
Depuis 1987, date de ma première fois à Bakou, je me suis rendu à plusieurs reprises en Azerbaïdjan comme photojournaliste. J’y ai couvert pour les médias internationaux des moments forts et tragiques de l’histoire du pays, comme le Janvier noir en 1990, le conflit dans le Haut-Karabagh et le massacre du village de Khojaly en 1992.
Quelques années plus tard, alors en reportage pour le National Geographic Magazine, j’ai porté, entre autre, un regard sur le difficile quotidien des réfugiés et des déplacés.
Je suis revenu souvent en Azerbaïdjan, observateur et témoin d’un pays en pleine évolution. Au fil de mes voyages, dans chaque village, bourg, ville, je constate encore la présence d’un lieu de commémoration qui marque le souvenir d’une tragédie, celle de la perte d’un proche ou d’une terre. Ce sont ces chemins de vie et de chagrins qui m’ont touchés.
J’ai souhaité rendre hommage à ces femmes et ces hommes, victimes impuissantes d’enjeux sur l’échiquier géopolitique à travers Le massacre des Innocents.
Azerbaïdjan, Le Massacre des Innocents
Photographies: REZA
Textes: Rachel Deghati
Le monde est devenu mon pays. Je le parcours comme photographe et témoigne de ses errances, entre guerres et paix. Mon port d’attache est Paris, et je témoigne aussi des plaies de notre humanité.
En 1987, j’attends avec impatience de découvrir Bakou où je suis invité. Je sais que je pourrai y puiser un souffle d’enfance. C’est ma première fois en Azerbaïdjan où je me rends régulièrement depuis cette année-là. J’y couvre pour les médias internationaux des moments forts et tragiques de l’histoire du pays en 1990 et 1992.
Au fil des décennies qui suivent, je rencontre le peuple des villes et des montagnes, j’arpente le pays sur lequel je porte un regard de découverte et d’exploration visuelle.
Azerbaïdjan, l’Elégance du Feu est une promenade visuelle et poétique, un témoignage en images de l’évolution d’un pays, de la pluralité et la richesse de son identité culturelle ancestrale.
Azerbaïdjan, l’Élégance du Feu par REZA. Textes Rachel Deghati.
Le monde est devenu mon pays. Je le parcours comme photographe et témoigne de ses errances, entre guerres et paix. Mon port d’attache est Paris, et je témoigne aussi des plaies de notre humanité.
En 1987, j’attends avec impatience de découvrir Bakou où je suis invité. Je sais que je pourrai y puiser un souffle d’enfance. C’est ma première fois en Azerbaïdjan où je me rends régulièrement depuis cette année-là. J’y couvre pour les médias internationaux des moments forts et tragiques de l’histoire du pays en 1990 et 1992.
Au fil des décennies qui suivent, je rencontre le peuple des villes et des montagnes, j’arpente le pays sur lequel je porte un regard de découverte et d’exploration visuelle.
Azerbaïdjan, l’Elégance du Feu est une promenade visuelle et poétique, un témoignage en images de l’évolution d’un pays, de la pluralité et la richesse de son identité culturelle ancestrale.
Azerbaïdjan, l’Élégance du Feu par REZA. Textes Rachel Deghati.
EXPOSITION au PETIT PALAIS du 25 Novembre au 7 Décembre 2014
Photojournaliste et insatiable explorateur visuel, REZA témoigne à travers le monde des joies et des souffrances, des conflits et des instants de paix de l’humanité. Aujourd’hui, l’écrin du Petit Palais révèle au plus grand nombre le regard de REZA posé depuis 1987 sur l’Azerbaïdjan. Il raconte en images, dans le péristyle qui entoure le jardin, plusieurs décennies d’un long reportage commencé en 1987.
L’Exposition Azerbaïdjan, l’Élégance du feu est le regard de REZA sur un peuple à la culture ancestrale en plein évolution qui se tourne vers la modernité : des scènes de vie, des portraits, des regards, des paysages, des panoramas de villes inédits offrent la part moins connue de ce pays situé dans le Caucase, entre l’Europe et l’Asie.
Cette exposition est présentée à l’occasion de la publication de deux ouvrages : Le Massacre des Innocents et L’Elégance du feu.
Du 25 novembre au 7 décembre 2014, le Petit Palais accueille REZA.
Photojournaliste et insatiable explorateur visuel, REZA témoigne à travers le monde des joies et des souffrances, des conflits et des instants de paix de l’humanité. Aujourd’hui, l’écrin du Petit Palais révèle au plus grand nombre le regard de REZA posé depuis 1987 sur l’Azerbaïdjan. Il raconte en images, dans le péristyle qui entoure le jardin, plusieurs décennies d’un long reportage commencé en 1987.
L’Exposition Azerbaïdjan, l’Élégance du feu est le regard de REZA sur un peuple à la culture ancestrale en plein évolution qui se tourne vers la modernité : des scènes de vie, des portraits, des regards, des paysages, des panoramas de villes inédits offrent la part moins connue de ce pays situé dans le Caucase, entre l’Europe et l’Asie.
Cette exposition est présentée à l’occasion de la publication de deux ouvrages : Le Massacre des Innocents et L’Elégance du feu.
« L’art peut-il changer le monde ? » une conférence du photographe REZA à l’université d’été UTOPIA. L’université d’été 2014 aura lieu du jeudi 25 septembre 16h au dimanche 28 septembre 14h au village vacances Touristra de Mandelieu – La Napoule, sur le domaine du château d’Agecroft, dans le département des Alpes Maritimes. La conférence « L’art peut-il changer le monde ? » aura lieu le 27 septembre de 20h30 à 22h30. En savoir plus :Utopia
J’ai rencontré David Holbrooke il y a cinq ans à New York, près du Lincoln Center, alors que j’avais l’honneur de recevoir le Lucie Award, pour mon parcours de photojournaliste. Si la photographie me reliait à nombre de professionnels internationaux du monde de l’image présents à cette occasion, c’est notre passion commune de la montagne qui m’a conduit vers David, fondateur du MountainFilm : Festival de Telluride, dans le Colorado.
Quelques instants, nous avons discuté de l’Afghanistan, où Richard Holbrooke, père de David et diplomate américain, a souvent été en mission.
Je me suis alors remémoré mes nombreux reportages dans les montagnes afghanes, aux côtés du Commandant Massoud. Ces reportages m’ont au fil des ans mené vers un engagement plus profond : le lancement de l’ONG Aina qui accompagne les journalistes afghans, en priorité les femmes, et les enfants vers la création d’outils de communication adaptés.
Au fil de notre échange, j’ai réalisé que nous partagions un amour de l’Afghanistan et de la montagne qui ce soir-là, tissait dans le paysage new-yorkais les premiers liens d’une rencontre déterminante. A la fin de notre échange, David m’a proposé de mettre en place une exposition de mes photographies et une conférence au sein du festival de Telluride, le 26 mai suivant. Bien qu’honoré, j’ai immédiatement décliné son invitation, car mon fils allait avoir 18 ans ce jour-là, et je ne pouvais à aucun prétexte manquer ce rendez-vous familial.
David se tut quelques instants, puis me dit qu’il comprenait. Je pouvais lire dans son regard qu’en tant que fils de diplomate, il savait combien ces instants intimes étaient précieux. J’imaginais que son père avait dû, comme bien des photographes et journalistes témoins de leurs époques, renoncer à certaines retrouvailles afin d’honorer ses engagements professionnels.
Photojournaliste sur les routes du monde depuis plus de trente ans, je me suis aventuré à dresser le compte des rendez-vous manqués et leurs motivations souvent essentielles. Les énumérer toutes serait trop long, mais je pense à quelques unes : les camps de réfugiés dans lesquels je mettais en place une formation au langage de l’image; les fermes de caféiculteurs des montagnes guatémaltèques pour témoigner du labeur de ceux qui produisent notre boisson quotidienne, mes nombreux séjours en Afghanistan pour couvrir les conflits ou pour suivre les actions de l’association Aina , ou encore mon reportage dans les hôpitaux des villages africains auprès de malades du sida… Je ne regrette rien, et je suis reconnaissant envers chacun de mes enfants, de n’avoir jamais manifesté le moindre reproche.
Je vous écris aujourd’hui alors que je voyage entre Paris et Dubaï, et m’apprête à honorer le rendez-vous que David m’a fixé il y a plusieurs années. Je suis impatient de le rejoindre ainsi que l’équipe du Festival de Telluride. Si, par chance, votre route vous mène dans le Colorado, je serai très heureux de partager avec vous l’exposition Destins Croisés et de vous rencontrer lors de la conférence que je donnerai à cette occasion.
Chers amis,
Comme vous le savez, le crowdfunding aide certains projets importants à voir le jour, et permet une réelle démocratisation autour d’initiatives porteuses de sens. Mais tel qu’il existe actuellement, il induit un principe de compétition, une course au temps et à l’argent qui sont en totale dissonance avec les valeurs des projets concernés, qui ont besoin d’un appui sur le long terme et peuvent entamer leur production sans avoir la totalité des fonds réunis.
Bien qu’une précédente opération autour d’un livre numérique interactif sur l’Afghanistan et son peuple n’ait pu aboutir faute d’avoir réuni la totalité des fonds, ma détermination est restée intacte. Car à l’échelle de l’Histoire de l’humanité, je ne suis qu’un passeur. J’ai la responsabilité de notre engagement pour un monde meilleur. C’est pourquoi je ressens toujours la nécessité de réaliser un livre numérique interactif, informatif et éducatif en six langues, afin de diffuser au monde les chemins de vie singuliers de ces guerriers de la paix, qui chaque jour oeuvrent pour la liberté afghane.
J’ai alors mené une réflexion afin de créer un nouveau modèle de financement participatif, innovant et unique, qui n’ait pas de date limite et puisse s’accorder avec les différentes phases de réalisation d’un projet.
C’est ce que nous avons mis en place autour du projet Afghanistan, Guerriers de la Paix, sur le site Indie Voices, en proposant un financement participatif par phases – car nous savons qu’il n’est pas nécessaire d’avoir la totalité des fonds pour démarrer la réalisation du projet.
Je suis convaincu que cette forme nouvelle et innovante de financement participatif permettra à de nombreux projets de voir le jour, et j’espère que la communauté de guerriers de la paix, qui se sera mobilisée à nos côtés, pourra envisager cela comme l’occasion d’un engagement à long terme.
Amitiés,
Reza
Pour contribuer, c’est simple !
· Par chèque : vous pouvez soutenir ce projet en envoyant, un chèque libellé à l’ordre de Webistan / eBook à l’adresse postale suivante : Agence Webistan / eBook – 122, rue Haxo 75019 Paris.
Par carte bancaire : vous pouvez également contribuer en ligne sur la plateforme anglophone Indie Voices : www.indievoic.es
“Time in Turkey” semblait un projet formidable quand le responsable de la photo pour le journal Zaman à Istanbul m’a invité, avec 24 photographes de renommée internationale, pour travailler sur la Turquie à l’occasion du 25e anniversaire de la création de “Zaman médias”.
J’ai passé quatre jours en Décembre, sous de fortes pluies et le froid, pour photographier la cérémonie de “Ashura” chez la classe moyenne de la banlieue ouest d’Istanbul.
Ce fut une grande expérience de travail collectif : la plupart des photographes sont de vieux amis et Istanbul est l’une de mes villes préférées !
Notre travail a ensuite été publié dans un livre et a été montré dans des expositions à travers le monde.
L’exposition s’arrête aujourd’hui à Grand Central Station à New York … ALLEZ-Y MAINTENANT !
Si vous êtes à New York dans les prochains jours, je crois que ce sera un moment intense aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la gare Grand Central… et, vous aurez la chance de profiter de “Time in Turkey” !
Exposition photographique “Time in Turkey”, Grand Central Terminal, Vanderbilt Hall East Side, New York, 2-9 Janvier 2014.
Des centaines de photographes à travers le monde ont participé au concours photo My Vision organisé par Reza. Votez en ligne pour vos photos favorites parmi une sélection de 50 images ci-dessous. Pour voter, c’est simple : il suffit de cocher les étoiles en dessous des images. L’image qui aura le plus de points gagnera le Prix du public. En cas d’égalité de points, Reza les départagera.
Premier invité de l’Université Populaire du Voyage, Reza donnera une conférence sur le thème du « voyage de l’engagement » le 3 décembre à Albertville (Savoie), à 20h30, Salle de Maistre, 4 route de Pallud.
Sur le principe des universités populaires, l’Université Populaire du Voyage, sous l’égide du Grand Bivouac, proposera des conférences gratuites, accessibles à tous, pour creuser des thèmes liés au voyage sous des angles philosophiques, sociologiques, historiques… En parallèle, seront organisées des rencontres avec les scolaires et des publics spécifiques : enseignants, entreprises, associations.
A l’occasion des 20èmes Rencontres annuelles du réseau Banlieues d’Europe – Nouvelles dimensions de l’éducation, Reza donnera une conférence jeudi 21 novembre 2013 à 9h45, à Munich, en Allemagne (Friche culturelle, Halle 6, Dachauerstr. 112) sur le thème : “Education artistique et culturelle non-formelle : quels enjeux pour l’insertion sociale et professionnelle ?”.
Il échangera notamment avec Dounia Besson, vice -présidente du Grand Lyon chargée de l’emploi, de l’insertion et de l’économie solidaire, Michael Brater, Ecole supérieure Alanus pour les arts et sciences sociales et Lina Attel, Centre National des Arts de la scène de la Fondation du Roi Hussein.
Banlieues d’Europe organise à Munich (Allemagne), ses 20èmes rencontres annuelles du réseau du 20 au 22 novembre 2013 en partenariat avec le réseau Münchner Trichter. La question de l’éducation artistique et culturelle non formelle sera au cœur des débats de ces trois jours de rencontres européennes. Cette rencontre sera l’occasion d’accueillir une centaine de porteurs de projets, réunissant acteurs de la société civile, chercheurs, médias et responsables de politiques publiques, enseignants mais également des participants aux projets.
Lieu de ressources incontournable de l’innovation culturelle et artistique en Europe, Banlieues d’Europe réunit 300 partenaires actifs et plus de 6000 contacts internationaux. Le réseau est constitué d’acteurs culturels, d’artistes, de militants, de travailleurs sociaux d’élus, et de chercheurs, ayant pour objectifs de croiser les pratiques, d’échanger des informations, de sortir de l’isolement pour valoriser les projets d’actions culturelles dans les quartiers défavorisés et auprès des populations mises au ban.
Une exposition de Reza au siège des Nations Unies, à New York et à l’UNESCO, à Paris, au Parlement Européen à Bruxelles et au Centre Culturel d’Azerbaïdjan.
Depuis toujours, mes photographies tentent de témoigner d’une Humanité dans laquelle des êtres de cultures et de confessions différentes se rencontrent. Des mythes de la Bible au pèlerinage à la Mecque, à travers du monde depuis plus de trente ans, j’ai souvent partagé la route de celles et ceux qui, si différents qu’ils paraissent, se rejoignent dans le respect de l’autre et de ses croyances. Près de nous, il est une terre sur laquelle vivent chrétiens, musulmans, juifs. Je suis allé à leur rencontre, au fil de plusieurs mois de reportage en Azerbaïdjan. J’ai partagé le recueillement du jeûne musulman et la joie des rassemblements de l’iftar. J’ai été le témoin silencieux et discret des prières des Oudis, premiers chrétiens issus de la région du Caucase. J’ai découvert, dans les ruelles du « Village rouge », l’une des seules enclaves juives en dehors d’Israël.
Quelle que soit la communauté à laquelle ils appartiennent, la ferveur de ces croyants m’émeut profondément, collective ou intime. J’aime attester de ces moments où l’être humain semble se révéler. Je trouve une sorte de sérénité et de retenue dans les détails d’une main qui se serre sur un livre sacré ou sur un chapelet…
J’aime ici la douceur gracieuse de cette petite fille que les bras de sa grand-mère accompagnent dans le pèlerinage célébrant saint Georges. Elle protège de ses mains délicates une bougie en cire d’abeille, allumée en souvenir de ce saint pourfendeur de dragons, vénéré aujourd’hui par chrétiens et musulmans. De ses yeux d’enfant et de la flamme fragile de cette bougie, me reste la certitude que la tolérance tisse les liens ineffables d’une Humanité plurielle.
Cet hommage visuel rendu à la Tolérance sera exposé à New York, au siège des Nations Unies, à partir du 27 septembre 2013, dans le cadre du forum organisé par The United Nations Alliance of Civilizations.
Cet hommage visuel rendu à la Tolérance sera exposé à New York, au siège des Nations Unies, à partir du 27 septembre 2013, dans le cadre du forum organisé par The United Nations Alliance of Civilizations. Il a été également exposé le 22 octobre 2013 à l’UNESCO, à Paris, lors du 550e anniversaire de la mort du philosophe et poète azerbaïdjanais Seyyid Yahya Bakuvi (Shirvani). Une exposition qui se déroulera également au Parlement Européen à Bruxelles et au Centre Culturel d’Azerbaïdjan à Paris.
Semaine de la solidarité internationale exposition “DroitS à l’essentiel” par REZA
Jeune écolier dans mon Iran natal, je découvrais les vers de Sa’adi Shirazi, grand voyageur et poète persan du XIIIème siècle. Je comprenais alors qu’il nous livre un message intemporel, devenu la feuille de route des Nations Unies – les actions de chaque être peuvent blesser, ou créer un cercle vertueux à l’échelle mondiale :
Tous les êtres humains font partie d’une seule humanité
Ils sont tous créés d’une même essence.
Si une peine arrive à l’un d’entre eux,
Les autres aussi perdent toute aisance.
Si tu n’es pas sensible aux souffrances des autres,
Tu ne mérites pas de faire partie de cette humanité.
Ainsi, les instances gouvernementales, seules, ne peuvent gérer justement les sociétés. Elles n’ont depuis leur création qu’un seul mandat : contrôler les populations. En quelques décennies, des poches de résistances associatives ou individuelles sont apparues çà et là, portant la solidarité sur la scène du débat public. C’est pourquoi la Semaine de la solidarité internationale m’a parue être un projet important à soutenir.
J’ai l’honneur cette année de parrainer la 16ème édition de cet événement, et d’avoir rencontré les acteurs emblématiques des sept droits essentiels. En chacun d’eux, j’ai reconnu les héros silencieux de mes photographies, ces destins croisés sur les routes du monde qui m’ont appris que la conscience de l’autre et l’altruisme sont les fondements de notre humanité. Nous avons la responsabilité de répandre ce message jusqu’à ce que chaque semaine, soit celle d’une solidarité internationale.
Sur les routes ancestrales des champs de café, REZA, après un travail en immersion de plusieurs mois, découvre les plantations d’Inde, de Colombie, du Brésil, du Guatemala, d’Éthiopie et du Sud Soudan.
A travers les rencontres du photographe et des producteurs, fermiers ou agronomes, l’exposition Chants de Café offre une fresque photographique de l’intérieur, autour de la culture du café et de la vie des communautés qui le produisent. Labeur, dignité et tradition sont mis en lumière.
Un projet pédagogique et des expositions sous l’égide des Ateliers Reza à Toulouse
Au fil des formations à la photographie que je mène de par le monde, je souligne avec insistance que l’appareil photo est un outil de témoignage. A Toulouse pour les Ateliers Reza, je voyais briller les yeux de la jeune Sabah à chaque session de formation technique. Elle ne semblait pas animée du désir de devenir photographe, mais bien de celui de s’exprimer sur son histoire.
Après plusieurs rencontres avec Sabah, Jawad, Océane et les autres jeunes qui participaient à la formation, j’ai compris d’où venait leur enthousiasme. Je pourrais le résumer en une phrase, entendue maintes fois par les uns et les autres : « On en a marre que nos quartiers, le Mirail, la Reynerie ou Bellefontaine, soient cités que pour des histoires de voitures brûlées ou de bagarres de rues. Nous, on veut montrer que notre ville est belle et que nos familles sont comme les autres ! »
Ainsi, j’étais venu à Toulouse pour aider à cette prise de conscience : la ghettoïsation met à mal une société. Elle isole les êtres et brise les ponts entre leurs quotidiens, leurs cultures, leurs paroles. Imaginez ma surprise lorsque, en discutant avec les enfants de Toulouse, ceux-ci m’ont demandé : « Reza, tu es toujours dans les zones de guerre et les quartiers difficiles, alors pourquoi tu viens ici ? » Dans le cadre du Mois de L’Image à Toulouse, les Ateliers Reza vous invitent à découvrir l’exposition Ma Terre, ma Famille du 17 septembre au 13 octobre à la médiathèque José Cabanis, du 17 septembre au 17 novembre à la médiathèque Grand M. Cette exposition collective est le fruit du travail photographique d’une quarantaine de jeunes issus des quartiers la Reynerie, le Mirail et Bellefontaine. Ils ont été formés de mars à septembre par des photographes professionnels encadrés par Reza. Ce projet est une initiative de la Ville de Toulouse.Pour en savoir plus, rejoignez les Ateliers Reza.
Quel est le meilleur moyen de répandre les rêves d’un guerrier de la paix ? Cette question me taraude depuis toujours. Comment faire siens les combats d’un résistant pour un monde meilleur et une paix durable dans une région agitée par tant de décennies de conflit ? A l’ère du numérique, la réponse est de diffuser dans le monde mais aussi à travers une population afghane les rêves d’un homme qui dédia sa vie à la liberté et à la paix.
Tout commence par une rencontre un jour de mai 1985 dans la vallée du Panjshir. Je le vois. Il a la prestance d’un messager, la chaleur d’un homme simple : « Je sais ce que tu as enduré pour arriver ici. Je m’excuse de t’avoir fait attendre », me dit-il en me donnant l’accolade. Massoud est entouré de ses hommes aux rôles multiples, dévoués à l’indépendance de leur pays. Une relation de confiance s’installe rapidement entre lui, ses proches et moi. Elle durera jusqu’à son assassinat le 9 septembre 2001.
Aujourd’hui, je souhaite réaliser, avec votre soutien, mon premier beau livre numérique sur le commandant Massoud. Conçu comme un véritable web doc, développé en anglais, français, dari, pashtou et disponible sur tous supports, il alliera photographies vidéos et animations, proposant une immersion totale dans l’univers et le destin de cette figure emblématique de la résistance afghane.
Ce livre application est proposé exclusivement à un tarif de 3€ pour tous ceux qui contribueront au financement du projet sur cette opération spéciale menée avec KissKissBankBank. Il sera proposé au prix public de 9,90€ lors de sa sortie en septembre 2014. Chaque exemplaire français ou anglais acheté permettra la diffusion gratuite d’un exemplaire dari ou pashtou (2 langues officielles parlées en Afghanistan et dans la région).
Sur les routes ancestrales des champs de café, le photographe humaniste Reza, au cours d’un reportage en immersion de plusieurs mois, découvre les plantations d’Inde, de Colombie, du Brésil, du Guatemala, d’Éthiopie et du Sud-Soudan, soutenues par le programme de développement durable Nespresso AAA depuis 2003.
Au fil de témoignages croisés du photographe et des producteurs, fermiers et agronomes, ce livre offre une parole de l’intérieur, autour de la culture du café et de la vie des communautés qui le produisent. Labeur, dignité et tradition sont mis en lumière, à travers le travail mené dans les plantations.
Entre poésie et témoignage visuel, Reza rend hommage aux mains des hommes derrière le café, ainsi qu’aux engagements de développement à long terme et de qualité. Des fleurs immaculées aux délicates cerises rouges qu’hommes et femmes cherchent de la main sur les flancs souvent abrupts des montagnes, l’exigeante culture du café est ici révélée.
Chants de café par Reza. Textes de Rachel Deghati. Editions Michel Lafon, 159 p., 2013.
Format : 210 x 150 mm
Nombre de pages : 250 pages
Date de publication : 26 septembre 2013
ISBN : 978-2749920511
Editeur : Michel Lafon
Type de couverture : Rigide
Disponible en librairie à partir du 26 septembre 2013.
Depuis 1979, je tente de faire de mon appareil le complice de ceux que je photographie et qui sont prêts à partager une partie de leur âme à travers leurs yeux. Aujourd’hui, leurs images habillent plusieurs villes du monde et viennent à votre rencontre à travers les expositions Fenêtres de l’âme et Chants de café. Avec My Vision, je vous invite à partager vos photographies, à poser votre regard sur ces histoires des routes du monde que le langage de l’image tisse entre nous.
Comment participer ?
1) Photographiez l’une des expositions de Rezaavec l’application Instagram de votre smartphone ou avec votre appareil photo digital
2) Partagez les photos sur Instagram en veillant à indiquer le hashtag #myvisionreza
3) Ou, envoyez vos photos àphoto@webistan.comavec vos nom et prénom sur chaque fichier image. 2 Mo Max. et format JPEG/JPG par photo.
4) 10 photos maximum par personne.
5) Date limite de participation : 3 novembre 2013.
Cinq gagnants
Prix du jury
Un jury présidé par Reza décernera trois prix:
● 1er Prix : une rencontre avec Reza pour échanger sur la photographie + livre dédicacé + DVD One world one tribe.
● 2eme Prix : 4 livres dédicacés + DVD One world one tribe.
● 3eme Prix : 2 livres dédicacés
Prix Instagram
Invitez vos amis à aimer vos photos sur les réseaux sociaux. Celle qui recevra le plus de « J’aime » remportera une rencontre avec Reza + livre dédicacé + DVD One world one tribe.
Prix Web
les internautes voteront pour les photos, envoyées par email, sur le site Rezaphoto.org. La photo recevant le plus de notes remportera une rencontre avec Reza + livre dédicacé + DVD One world one tribe.
Les photos gagnantes seront exposées sur les réseaux sociaux, les sites web de Reza et bénéficieront d’une campagne internationale de communication.
Les Expositions
Chants de Café / Soul of Coffee :
● PARIS : berges de Seine, Quai des Tuileries/Quai Anatole France, en face du musée d’Orsay, jusqu’au 30 septembre 2013 .
● LONDRES : Kew Royal Botanical Gardens, jusqu’au 3 novembre 2013.
Sur les routes ancestrales des champs de café, REZA, après un travail en immersion de plusieurs mois, découvre les plantations d’Inde, de Colombie, du Brésil, du Guatemala, d’Éthiopie et du Sud Soudan.
A travers les rencontres du photographe et des producteurs, fermiers ou agronomes, l’exposition Chants de Café offre une fresque photographique de l’intérieur, autour de la culture du café et de la vie des communautés qui le produisent. Labeur, dignité et tradition sont mis en lumière.
Cette exposition est le fruit d’une collaboration exclusive entre REZA et Nespresso, à l’occasion du dixième anniversaire du programme AAA pour une qualité durable. Lancé en 2003 en partenariat avec Rainforest Alliance, celui-ci repose sur le lien qui unit directement Nespresso avec différentes communautés et plus de 52000 caféiculteurs. Il vise à garantir la plus haute qualité et la durabilité de la chaîne d’approvisionnement du café, afin d’améliorer le niveau de vie des cultivateurs et de leurs familles.
Ces reportages photographiques donneront lieu à une série d’évènements internationaux. Une sélection d’images sera exposée dans toutes les boutiques Nespresso au monde. Plusieurs grandes villes accueilleront en extérieur des installations rendant hommage au travail des hommes à l’origine du café. Paris, Londres, New York et Santander seront les premières des grandes villes mondiales à accueillir l’exposition Chants de Café. Un site dédié en 35 langues, avec notamment plusieurs vidéos et des photos inédites, est en ligne. Un beau livre de photographies sera également proposé à l’automne par les éditions Michel Lafon et disponible dès cet été dans les boutiques Nespresso.
Entre poésie et témoignage visuel, REZA rend hommage aux mains des hommes derrière le café, ainsi qu’aux engagements de développement à long terme et de qualité. Des fleurs immaculées aux délicates cerises rouges qu’hommes et femmes cherchent de la main sur les flancs souvent abrupts des montagnes, l’exigeante culture du café est ici révélée.
Exposition Chants de Café par REZA – Paris
Quai des Tuileries/Quai Anatole France, en face du musée d’Orsay, 75007 Paris.
Métro Solférino ou RER C Musée d’Orsay
Du 26 juin au 30 septembre 2013
Exposition Soul of Coffe par REZA – Londres
Kew Royal Botanical Gardens, Londres
Kew Gardens Station, District line
Ouvert de 9h30 à 17h30
Du 12 juillet au 3 novembre 2013
Exposition Soul of Coffe par REZA – New York (Bientôt)
En 2003, une équipe de femmes journalistes formées par Aina partait dans les régions afghanes pour filmer le quotidien des femmes et leur donner enfin la parole. Dans le pays libéré du joug des Talibans, les langues se délient et racontent l’oppression des talibans mais aussi les côtés sombres de l’invasion américaine
Ce documentaire, témoignage inédit, qui avait notamment été nominé aux Emmy Documentary Film Awards américains en septembre 2005, est entré dans les archives de l’Unesco.
Portraits “If I stand up”
4 portraits de 13 minutes chacune: Zakia Zaki, Anis et Simin, Malalai Joya et Massouda Jalal.
« Kaboul Short Stories »
4 histoires courtes, environ 4 minutes chacune. La vidéo présentée ici, «Solidarité Boulangerie », est l’une de ces histoires.
Le groupe des camera women d’Aina est composé de:
Shakeba Adill, Marie Ayubi, Mehria Azizi, Jamila Emaml, Hatima Hussiani et Gul Makai Ranjba.
à ce sujet: Ainaworld
Lieu / pays: Afghanistan
Genre: Documentaire
Exemple: 04:19. Longueur totale: 02:48:00
Auteur / Réalisateur: Shakeba Adill, Marie AYBI, Mehria Azizi, Jamila Emaml, Halima Hussiani, Gul Makai Ranjba,
Editeur / Producteur: AINA Productions, UNESCO
Ali Badri, réalisateur iranien, revient sur le parcours singulier de Reza, entre photojournalisme et engagement humanitaire. « Parvaz » retrace la genèse du livret éducatif du même nom, qui signifie l’Envol en persan et a été lancé en 2002 en Afghanistan par l’ONG Ainaworld. A travers ce documentaire, c’est l’histoire d’une rencontre entre Ali Badri et Reza qui nous est contée, d’homme à homme, d’ami à ami, d’exilé à exilé.
Le DVD One World, One Tribe est un catalogue interactif de l’exposition photographique de Reza au Musée National Geographic (20 Juin au 9 Octobre 2006, à Washington DC)
Photographie et narration: Reza
Texte: Rachel Deghati
Réalisation: Aydin Bahramlouian
Description du contenu: 100 photos (54 narrées par Reza), double navigation utilisant la carte du monde ou des planches contact
Caractéristique supplémentaire: 45 minutes d’images inédites montrant Reza en mission en Chine et au Rwanda
Format: DVD Video
Langue: Anglais
zone libre
Production: Webistan Photo Agency, National Geographic
Prix: 39 euros (frais de port inclus)
AVIS IMPORTANT: Les articles sont expédiés à partir de l’Europe. Si vous commandez en provenance d’Amérique, d’Asie, d’Afrique ou d’Océanie, veuillez considérer 15 à 20 jours ouvrables le délai de livraison.
Dimensions : 15 x 20 cm ; Mat (Remarque: le portrait de Massoud est légèrement plus petit que les autres.)
Prix : 26€ (12 cartes + frais de ports)
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Sujet : Entrée de la fameuse Vallée du Pandjchir, en Aghanistan. C’était le quartier général du Commandant Ahmad Shah Massoud, et le centre de la résistance afghane pendant les années d’occupation soviétique et de domination des Talibans.
Dimensions : 50 x 70 cm
Prix : 35 euros (frais de ports inclus pour la France uniquement)
Prix : 40 euros (frais de ports inclus pour le monde sauf la France)
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Couleurs et qualité fidèles au tirage photo original.
Le processus d’impression est supervisé et contrôlé par le photographe.
Sujet : Petite fille Tadjik, Turkestan Oriental, Chine.
Dimensions : 50 x 70 cm
Prix : 35 euros (frais de ports inclus pour la France uniquement)
Prix : 40 euros (frais de ports inclus pour le monde sauf la France)
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Le processus d’impression est supervisé et contrôlé par le photographe
Sujet : Aina Boy, un petit garçon afghan à Badakhshan, Afghanistan. (Ce portrait est devenu le symbole d’Ainaworld, l’association fondée en 2001 par Reza pour promouvoir l’éducation et aider les journalistes dans le monde entier)
Dimensions : 50 x 70 cm
Prix : 35 euros (frais de ports inclus pour la France uniquement)
Prix : 40 euros (frais de ports inclus pour le monde sauf la France)
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Couleurs et qualité fidèles au tirage photo original.
Le processus d’impression est supervisé et contrôlé par le photographe.
Prix : 35 euros (frais de ports inclus pour la France uniquement)
Prix : 40 euros (frais de ports inclus pour le monde sauf la France)
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Prix : 35 euros (frais de ports inclus pour la France uniquement)
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Le processus d’impression est supervisé et controlé par le photographe.
Sujet : Petite fille Afghane, dans la région tribale bordant la frontière Pakistanaise. Une des photos de Reza parmi les plus célèbres/images iconiques.
Dimensions : 50 x 70 cm
Prix : 35 euros (frais de ports inclus pour la France uniquement)
Prix : 40 euros (frais de ports inclus pour le monde sauf la France)
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Le processus d’impression est supervisé et contrôlé par le photographe.
Prix : 35 euros (frais de ports inclus pour la France uniquement)
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Couleurs et qualité fidèles au tirage photo original.
Le processus d’impression est supervisé et contrôlé par le photographe.
A l’échelle d’une vie, les errements des hommes, les soubresauts de l’Histoire, les violences perpétrées au nom du pouvoir, semblent insignifiants. Sur la longue route de l’Humanité en marche vers la paix et la perfection, ils comptent peu. Ils ne sont que de simples étapes dans son évolution. Depuis la première rencontre de REZA avec l’injustice sociale en Iran, alors adolescent, il n’a cessé d’observer le monde et de remplir son rôle de témoin. Souvent au cœur des conflits, des drames de l’âme, et de la misère, mais aussi des joies, il tente grâce à cet alphabet universel qu’est la photographie, de raconter les mémoires d’humains pris dans la tourmente du monde. Il ne porte pas un constat triste et sans espoir sur notre Humanité qui, par-delà les millénaires, n’en est qu’à ses premiers balbutiements. Sans doute, dans ce parcours intime et professionnel, a-t-il toujours laissé une part importante à la poésie, qui donne une lecture différente de la vie et façonne une paix intérieure.
A Bastia, Bonifacio et Corte, l’exposition en trois actes Fenêtres de l’âme, raconte notre identité et notre universalité d’humain.
En Afghanistan, « être insouciant » se dit « avoir les ailes légères ».
Au musée de Bastia, le volet Insouciances est une promenade dans ces instants de grâce, hors des conflits et des tourments de la vie. Un pont vers ces peuples qui, vivant sur le toit du monde, en Egypte, au Cambodge ou au Pakistan, ont su préserver cette richesse.
A Corte, Résistances est un hommage aux âmes rebelles croisées par le photographe sur les routes du monde. Qu’est-ce qui pousse à poursuivre la marche dans les montagnes, lutter contre des empires, œuvrer en silence à l’équilibre du foyer au quotidien, veiller patiemment la dignité des siens, élaborer une stratégie de paix ? Quel est le moteur du résistant ? Le rêve ? La poésie ? La rébellion ? Réflexion visuelle proposée dans le jardin de la Corse et sur les remparts de la ville, l’exposition est un hommage à celles et ceux qui cultivent les graines de résistances sur leurs chemins de vie.
A Bonifacio, un panel de portraits vient habiller les ouvertures de la Caserne Génoise. Par-delà les visages et leurs sillons de vie, apparait un kaléidoscope des citoyens du monde, prêts à partager en toute confiance une partie de leur âme à travers leurs yeux. Qu’ils soient princes, reines, passants ou mendiants : ces êtres rencontrés dans la lutte ou la gloire offrent au photographe et au visiteur un face à face pudique, empreint d’humilité et de noblesse.
Au-delà des frontières, des diversités culturelles, des guerres meurtrières, ces images ne disent pas que la tristesse de vies mutilées. Si elles sont témoins, elles tendent à montrer le sourire derrière les larmes, la beauté derrière la tragédie, la vie, plus forte que la mort. Fenêtres de l’âme est l’histoire de la famille humaine, notre famille.
Exposition Fenêtres de l’âme
Caserne Génoise, site Montlaur, Haute-Ville, 201 69 Bonifacio
A l’occasion du World Innovation Summit for Education 2012 ( WISE ), Reza présente en avant-première mondiale l’ouvrage Learning a living, radical innovation in education for work, aux côtés des écrivains Valérie Hannon, Sarah Gillinson et Léonie Shanks. Réalisé à l’initiative de la Fondation Qatar, ce livre a mené le photographe dans 14 pays et 4 continents. Il met en lumière des projets dynamiques et porteurs d’espoir, réunis pour explorer les relations profondes entre éducation, apprentissage, travail et emploi.
Saluant la parution du livre Learning a living, radical innovation in education for work, le quotidien Le Monde consacre un supplément aux projets mis à l’honneur par la Fondation Qatar, dans son numéro du 14 novembre 2012 : Lire le supplément du Monde
• Format : 240 x 270 mm
• Nombre de pages : 160 pages
• Date de publication : 15 mai 2013
• ISBN-10 : 1780937547
• ISBN-13 : 978-1780937540
• Editeur : Bloomsbury Academic
• Couverture : souple
En partenariat avec l’ONG IDEA et sa fondatrice Leyla Aliyeva, le photographe REZA organise le premier Festival International de Photographie pour la Jeunesse du 12 au 14 mai 2013, à Bakou, en Azerbaïdjan. Un festival qui met à l’honneur les jeunes talents émergents de la photographie mondiale.
Dans la continuité de ses actions d’éducation visuelle informelle menées depuis de nombreuses années en France et à l’internationale, le photographe Reza initiait en 2012 un concours de photographie pour les enfants et adolescents Children’s Eyes On Earth : des milliers de jeunes photographes, âgés de moins de 17 ans, issus de plus de 90 pays, envoyaient plus de 4000 photographies sur les thèmes « I love Nature » (J’aime la Nature) et « I fear Pollution » (Je crains la Pollution) via le site Childrenseyesonearth.org. Six lauréats furent récompensés par une remise de prix.
Le concours Children’s Eyes On Earth était pour REZA la première étape dans son projet global : faire prendre conscience aux enfants des enjeux sociétaux et environnementaux de notre planète à travers l’alphabet de l’image. A la suite du concours, ces jeunes photographes talentueux seront accompagnés, formés et exposés à travers le premier Festival International de Photographie pour la Jeunesse.
Ce festival se déroulera du 12 au 14 mai 2013 à Bakou, en Azerbaïdjan. Il proposera une importante exposition d’une centaine de jeunes photographes parmi les plus talentueux ainsi qu’une remise de trophées, des projections de films, un spectacle musical, des ateliers photos avec REZA, des conférences sur l’éducation visuelle et l’environnement…
REZA déclare : “Les 100 photographies qui seront exposées au Festival sont des poèmes visuels. Elles reflètent les pensées profondes des jeunes aujourd’hui et révèlent comment ils voient la beauté du monde et le danger que la pollution fait peser sur notre planète, la nature et l’humanité. J’espère que ce premier Festival International de Photographie pour la Jeunesse offrira aux enfants une plateforme mondiale pour nous montrer le monde à travers leurs yeux, et nous inspirer pour prendre des mesures.”
En octobre dernier, je donnais une conférence à l’Opéra de Lyon qui accueillait mon exposition Entre guerres et paix, sur le pouvoir de l’image pour un changement social à l’occasion des Rencontres de la Communication et de la Solidarité Internationale.
La rencontre
Bien avant que ne commence la conférence, je vis arriver un couple avec ses enfants. Ils prirent place au premier rang. Comme souvent, durant mon intervention, je me laissais porter par l’énergie du public. Ce jour-là, j’étais happé par les regards intenses de cette famille au pied de l’estrade. J’avais l’impression d’un fil invisible tendu entre nous : leur attention nourrissait mon inspiration.
A la fin de la présentation, comme un rituel vécu maintes fois, je regardais la salle se vider tandis que certains, proches et inconnus, restent pour prolonger l’échange. Le couple et ses enfants vinrent à moi. Sur leurs visages se lisait encore l’émotion vive qu’avait suscitée notre échange.
L’invitation
La femme serra mes mains et se présenta. Elle avait fait le voyage avec les siens, depuis son village proche de Roanne, afin d’assister à la conférence. Catherine Angel me dit : « Nous sommes heureux de vous rencontrer. Nous suivons votre travail depuis très longtemps ». Responsable du club Phot’Objectif Mably, elle avait proposé à son groupe de photographes de travailler autour de mes reportages, et espérait m’accueillir un jour à Mably.
Je pensais alors aux invitations généreuses que je suis trop souvent contraint de décliner, faute de temps. Touché par ses mots, je répondis immédiatement : « Pour vous, je viendrai ».
L’exposition
C’est ainsi que le Club Photo de Mably, puis le Centre Hospitalier de Roanne, proposent aujourd’hui ces « Destins Croisés » sur les routes du monde depuis plus de trente ans. Mes multiples chemins m’ont conduit à la rencontre d’enfants, d’hommes et de femmes dont le destin, unique, m’a profondément marqué. Proche de chacun d’eux, leurs images disent mon rôle de témoin silencieux. Elles sont un pont entre les êtres, les peuples et les cultures. L’exposition « Destins Croisés » est dédiée à ces enfants et à leurs parents rencontrés un soir d’automne à Lyon. Elle est l’histoire de la famille humaine, notre famille.
Exposition “Destins Croisés”
L’Espace de la Tour – Mairie de Mably / 5, rue du Parc 42300 Mably
Centre Hospitalier de Roanne / 28, rue de Charlieu 42300 Roanne
Entrée gratuite
Du 6 au 28 avril 2013
A l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes le 8 mars prochain, le photographe Reza dévoile à travers l’exposition “Femmes, entre luttes et grâce” son regard sur les réalités quotidiennes de femmes dans le monde. Cet évènement se déroule jusqu’à la mi-avril 2013 à la Mairie du IXe, à Paris.
Des destins de femmes à travers quatre continents
A travers l’exposition “Femmes, entre luttes et grâce”, le photographe Reza dresse une vingtaine de portraits de femmes des quatre continents, de l’Afghanistan au Rwanda,en passant par l’Europe, la Chine et l’Egypte. Au fil des reportages, Reza raconte les destins de celles qui sont souvent les premières victimes, silencieuses, des conflits et des guerres. Proche de chacune d’elles, partageant leurs souffrances comme leurs joies, Reza rend hommage à ces résistantes grâce à l’alphabet universel de la photographie.
“C’est une déclaration d’amour, un hymne, une lettre ouverte constituée de portraits d’héroïnes qui ploient sous le poids de la douleur et des bruits des canons, mais ne se rompent jamais. A travers leur regard, leur sourire et leurs couleurs, c’est la dignité, la ténacité et la patience des femmes qui apparaissent malgré les tourments de notre monde.” – Reza
Reza, un photographe engagé aux côtés des femmes
Cette exposition s’inscrit dans la continuité de l’engagement de Reza, en faveur des femmes et des enfants, notamment par la création de l’ONG Aina en 2001 . En Afghanistan et au sein de chacun de ses départements (radio, vidéo, photo, presse, communication), Aina a formé des femmes qui souhaitent porter un regard sur leur destin et celui de leur pays dans le respect des traditions.
Les camerawomen formées par Aina ont réalisé des documentaires salués par la communauté internationale dans de nombreux festivals.
Le premier de ces films, Afghanistan Unveiled, a été nominé aux Emmy Documentary Film Awards américains en septembre 2005.
Par son engagement de photojournaliste et d’humaniste, Reza soutient les femmes qui prennent la parole, journalistes ou simples citoyennes, et qui partent en quête de leur histoire. Récits, portraits, témoignages, sont autant d’hommages à ces femmes entrées en résistance.
Exposition “Femmes, entre luttes et grâce”
Mairie du IXe
6, rue Drouot 75009 Paris
Entrée gratuite
Ouvert du lundi au vendredi, de 8h30 à 17h. Le jeudi, de 8h30 à 19h30 et le samedi de 9h à 12h30.
L’exposition rétrospective Hope, première installation photographique de Reza au Qatar, est présentée sur la corniche de Doha en parallèle au World Innovation Summit for Education 2012. Imaginée comme une véritable promenade visuelle à travers 30 ans de photoreportage, elle regroupe 80 photographies témoignant des blessures et des joies de ceux que Reza a croisé sur sa route.
Des actions pédagogiques autour de l’image ainsi que des rencontres-conférences sont proposées au public. Reza invite les photographes de la Qatar Photographic Society à un workshop inédit, et à une lecture de portfolios.
Lors du World Innovation Summit for Education, des spécialistes de tous horizons se rassemblent afin d’échanger autour des grands défis de notre époque que sont l’éducation, l’innovation, et le rayonnement des connaissances. Pour la seconde année consécutive, Reza est invité en tant qu’intervenant à revenir sur ses actions sociales en faveur de l’éducation visuelle informelle, menées de part le monde depuis plusieurs décennies.
Exposition HOPE
Du 7 novembre au 15 décembre 2012
Sheraton Park, sur la corniche de Doha, Qatar http://www.wise-qatar.org/hope
A l’occasion du World Innovation Summit for Education 2012 (WISE), Reza présente en avant-première mondiale l’ouvrage “Learning a living, radical innovation in education for work”, aux côtés des écrivains Valérie Hannon, Sarah Gillinson et Léonie Shanks. Réalisé à l’initiative de la Fondation Qatar, ce livre a mené le photographe dans 14 pays et 4 continents. Il met en lumière des projets dynamiques et porteurs d’espoir, réunis pour explorer les relations profondes entre éducation, apprentissage, travail et emploi.
“Learning a living : Radical innovation in education for work”, éditions Bloomsbury, à paraître, début 2013.
À l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie
Yasmina Khadra a toujours montré un intérêt passionné pour tout ce qui touche à son pays d’origine et s’est d’ailleurs exprimé de nombreuses fois, faisant fi des menaces ou du danger, à travers des articles de presse ou ses romans. Dans cet ouvrage, Yasmina Khadra, l’Algérien qui écrit en français, livre un véritable cri d’amour à son pays.
De Constantine au Grand Sud, en passant par Oran, Alger, Tizi Ouzou, Rio Salado, Zahara, Yasmina Khadra nous tend la main et nous emmène à la découverte de son Algérie. À la manière d’un impressionniste, entre récit autobiographique et fable poétique, il nous offre un texte d’une intensité rare.
C’est à Reza, photographe humaniste, qu’il a confié le soin de mettre en images ses souvenirs et de nous révéler un pays qu’il souhaite toujours plus libre et tolérant. Destination après destination, rencontre après rencontre, Yasmina Khadra et Reza subliment une Algérie qui s’apprête à célébrer ses cinquante ans d’indépendance.
« L’Algérie a toujours été plurielle avec ses pieds-noirs, Algériens, Français, Espagnols, Grecs, Juifs, Berbères, Touareg… C’est quand on essaie de la réduire à une seule identité
qu’elle s’effrite. » Yasmina Khadra
REZA, porté par l’association Huma’In, présente son exposition Entre Guerre et Paix, 35 années de travaux au cœur de l’actualité Internationale, à l’AmphiOpéra de Lyon du 09 au 30 octobre 2012, Place de la Comédie.
Dans le cadre des Rencontres de la Communication et de la Solidarité Internationale Journalistes et Humanitaires, Regards croisés sur nos pratiques et représentations se déroulant à la Bibliothèque Nationale de Lyon le 19 et 20 octobre 2012, Reza tiendra une conférence le vendredi 19 octobre de 18h30à 19h30 :
“The Power of Image for Social Change : La culture de la guerre engendre la guerre. Une solution : l’Education.”
(Inscription recommandée)
Dans le cadre de ces Rencontres, une matinée grand public est organisée le samedi 20 octobre à partir de 10h à l’AmphiOpéra de Lyon.
Entrée gratuite, en fonction des places disponibles.
En 2000, grâce à un périple photographique dans le Sud-Ouest de la France pour National Geographic, Reza découvre la ville rose et en est tombe amoureux.
En septembre 2012, Reza revient sur ses pas et – en collaboration avec l’agence Trois minutes d’avance et la Mairie de Toulouse – il propose à tous de partager sa vision du monde à travers un projet inédit d’exposition le long des berges de Garonne, intitulée ENTRE GUERRES ET PAIX…
Une exposition pour tous à ciel ouvert
Du 12 septembre au 11 novembre, passants et amateurs éclairés déambulent et découvrent, à la manière d’un jeu de piste, cette exposition à ciel ouvert proposant une sélection de 25 tirages très grand format (6m x 4m) retraçant la carrière de l’artiste.
Dans le cadre de l’année Garonne
L’exposition, inscrite dans le cadre de ” 2012, année Garonne “, offre une ballade au fil de l’eau durant laquelle le promeneur, sensible aux murmures du fleuve, sera amené à découvrir, à travers les photographies de Reza, la destinée des hommes et des femmes qui ont vécu l’histoire du siècle, ses blessures et ses moments de poésie.
Des rencontres avec l’artiste
Pendant toute la durée de l’exposition, débats, conférences, rencontres, séances de signature et projections, sont organisés pour permettre au public de rencontrer l’artiste.
Toutes les informations sur : http://www.rezatoulouse.org/evenement/agenda/
L’image comme langage
En parallèle, Reza initiera un programme pédagogique autour de la photographie avec des jeunes de la Reynerie, quartier “sensible” de Toulouse. A travers leurs rencontres, le langage de l’image devient vecteur de changement pour la jeunesse.
NOVA et Le Pudding reçoivent pour cette première émission de la saison le photographe franco-iranien, REZA, qui publiera en octobre l’ouvrage « Algérie » aux éditions Michel Lafon.
Reza, invité par Mads Olesen, directeur du Manoir de Martigny, et Sylvain Biegeleisen, commissaire de l’exposition, évoque sa vision du futur dans un monde en pleine mutation à travers une exposition, Vestiges, et s’implique au côté de nombreux autres artistes* pour partager son regard sur le XXIème siècle.
Une exposition qui favorise la réflexion, un constat mais surtout une incitation à rêver et repenser notre futur.
*Les photographes Didier Ruef, les plasticiens Pascal Abbet, Christophe Baud et Le Gentil Garçon, le poète et écrivain Jérôme Meizoz, le graphiste Blaise Coutaz, la scénographe Marianne Défago, le tatoueur YAN ainsi que celle des étudiants master classes de l’EPAC (Ecole professionnelle d’art contemporain, Saxon), des étudiants de troisième année de la HESso (Haute école sociale, Sierre), des Ecoles Primaires de la Ville de Martigny, du Cycle d’orientation et de l’Ecole de commerce. manoir-martigny.ch/vestiges.html
Deux évènements autour de Reza à l’occasion de son exposition Destins Croisés à Eygalières.
- Projection de « Parvaz », réalisé par Ali Badri, suivi d’un débat et d’une dédicace, le 21 juillet à la salle des Fêtes d’Eygalières, à 18h00.
- Rencontre et signature à la librairie d’Eygalières le 28 juillet de 10h à 13h.
Reza continue de parcourir le monde et nous transmets son expérience humaniste de reporter-photographe, témoignant de ses rencontres, de ces « destins croisés » au gré de sa route.
Le 21 juillet à 18h : Projection, Débat et Dédicace
Lieu : Salle des Fêtes, 13810 Eygalières
….
Le 28 juillet de 10h à 13h : Rencontre et signature
Lieu : Librairie d’Eygalières, rue de la République
http://www.ChildrensEyesOnEarth.com
La compétition internationale de photographie pour la jeunesse “Children’s Eyes on Earth” présenté par le photographe REZA.
Tu as moins de 17 ans? Prend des photos sur le thème “J’aime la nature” et “Je crains la pollution” et envoie les (jusqu’au 5 septembre 2012) sur le site ChildrensEyesOnEarth.com, tu seras peut-être l’un des gagnants!
Le Concours International de Photographie, Festival et Exposition 2012 “Children’s Eyes on Earth” a pour objectif de nous sensibiliser à notre environnement à travers le regard des jeunes.
En exprimant leur perception de la nature, les enfants et adolescents du monde entier, unie autour d’un même thème “J’aime la Nature, J’ai peur de la Pollution”, attirera l’attention sur ces enjeux d’avenir. Personne ne saurait rester insensible à cette approche. Nous devrons nous mobiliser et agir pour la planète.
Le défi est immense. Il leur faudra appréhender et illustrer l’environnement à travers la photographie. C’est pour chacun d’eux une occasion unique d’explorer l’image comme langage universel pour aborder ces questions cruciales et les partager largement avec leurs familles, les décisionnaires et la communauté mondiale.
Nous avons voulu donner à cet événement une dimension internationale. Une exposition itinérante sera organisée dans les principales métropoles. Par le biais de grandes organisations, institutions et médias, le monde entier écoutera ce que les jeunes ont à dire sur ces questions environnementales, dont leur avenir dépend.
Qui sommes-nous ?
Le Concours International de Photographie, “Children’s Eyes on Earth” est une initiative de Leyla Aliyeva, fondatrice de l’ONG IDEA (International Dialogue for Environmental Action) et de Reza, photographe et fondateur de l’ONG AINA World.
IDEA est le principal partenaire de “Children’s Eyes on Earth“, un événement soutenu également par WPO (World Photography Organisation), National Geographic Kids UK, SDN (Social Documentary Network), le Ministère azéri de la Jeunesse et des Sports, FotoEvidence, Aina World et Webistan Photo Agency.
Qui peut participer ?
Chaque jeune de moins de 17 ans pourra proposer ses images autour du thème “J’aime la Nature, J’ai peur de la Pollution”. Les photographies seront sélectionnées par un jury international.
Un prix spécial “Votre choix” sera décerné par le vote du public. Toutes les photographies devront être au format numérique et soumises uniquement sur le site officiel du concours : www.childrenseyesonearth.org
Agenda
Le concours est ouvert jusqu’au 15 septembre 2012.
Les photographies seront sélectionnées par un jury (composé de personnalités internationales?) à partir du 16 jusqu’au 25 septembre 2012.
Le festival et l’exposition débuteront à la fin du mois octobre 2012 à Bakou, en Azerbaïdjan, puis circuleront dans les principales villes à travers le monde.
Prix
1er Prix : une caméra SLR, un ordinateur portable et une imprimante photo.
2eme Prix : une caméra SLR, un iPad et une imprimante photo.
3eme Prix : une caméra SLR et une imprimante photo.
Prix spécial “Votre choix” : une caméra SLR et une imprimante photo.
Les lauréats de ce concours, accompagnés par leur tuteur légal, seront invités à participer au festival et à l’exposition. Une formation photographique personnalisée avec Reza leur sera aussi proposée pendant une journée, à Bakou, en Azerbaïdjan.
Renaissance de l’exposition de Reza Lundi 14 Mai a 18h30 à l’hotel de ville de Saint-Sébastien-sur-Loire.
Joël Guerriau, Sénateur-maire de Saint-Sébastien-sur-Loire vous remercie de votre présence au vernissage qui marquera la renaissance de l’exposition “Une Terre, Une Famille” de l’artiste photo-reporter Reza, vandalisée sur les iles de loire dans la nuit du 5 au 6 mai 2012.
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La presse française à propos de l’exposition de Reza vandalisée à Saint-Sebastien-sur-Loire:
Trois évènements avec Reza à la Mairie X à Paris: Exposition, séance de dédicace de livre et projection autour du nouveau livre de Reza, “L’Envol”. Le documentaire de l’artiste iranien, Ali Badri, “Parvaz” (L’envol) sera aussi projeté pour l’occasion.
Vernissage: 20 Janvier, 2012 à 18:30
Lieu: Mairie X, 72 rue Faubourg St Martin 75010, Paris. Métro Château d’eau.
Reza est l’invité de l’école Euromed Management à Marseille pour une Conference et Exhibition le 24 février 2012.
“Le monde est mon champ de vision.
De la guerre à la paix, de l’ineffable aux moments de poésie, mes images se veulent des témoignages de notre humanité sur les routes du monde.” Reza
Le photographe, Reza, est consultant pour les Nations Unies en Afghanistan, créateur de l’association Aina, association à but éducatif, permettant à des centaines de femmes et d’enfants de découvrir les métiers de l’information et de la communication.
Conférence de clôture sur le thème de La Socialisation par l’image le Vendredi 24 Février, à 18h en amphi A!
L’exposition sera Hall A et B.
The Conference is open for all public for free.
Depuis qu’ils ont été intégrés aux Mille et Une Nuits, les voyages de Sindbad le Marin ont fait rêver d’innombrables lecteurs avant de donner lieu à de multiples adaptations. Dialogue entre une réécriture plurielle du mythe par la célèbre romancière américaine Siri Hustvedt, et un Orient puissamment sensible tel qu’il se révèle sous l’objectif du grand photographe Reza, ce livre invite à tracer à l’infini, sur les mers et les océans, de nouvelles routes pour nos rêves.
Du voyage intime à la poésie versifiée, du roman populaire au scénario de film, le dialogue entre écriture et photographies recrée à son tour la figure de Sindbad au fil d’une variation sur les sept voyages accomplis par le légendaire marin. Pour en savoir plus..
Le livre L’Envol pose un autre regard sur La Conférence des Oiseaux de Farid Al-Din Attar, poète persan dont les écrits tissent les racines de l’Orient d’hier et d’aujourd’hui. A travers une réinterprétation en texte de Jean-Claude Carrière, et un voyage visuel dans des photographies inédites de Reza, l’Envol emporte le lecteur vers une quête mystique et intemporelle, dans laquelle se côtoient soufisme et onirisme.
L’envol, La Conférence des oiseaux
Reza & Jean-Claude Carrière
Editions Democratik Books
En regardant les photographies de Reza, Jean-Claude Carrière a cru reconnaître un voyage ancien, raconté au XIIème siècle par un poète persan, Farid Al-Din Attar. Le poème s’appelle La Conférence des oiseaux.
Toutes les étapes de ce voyage, les splendeurs comme les misères, les accidents, les étonnements, les extases, les abandons, les désespoirs, tout était là, dans le travail du photographe. Ces images n’attendaient qu’un regard et une parole. Les deux hommes ont alors reconstitué, pièce par pièce, cette envolée initiatique. Ils sont partis, ils ont traversé les sept vallées, ils sont arrivés au vrai roi. Avec une surprise : l’itinéraire n’a pas changé, les obstacles restent en place, et la même surprise nous attend à la fin. Les siècles se déroulent, les ruines succèdent aux ruines, nous n’avons pas changé.
Format : 230 x 360 mm
nombre de pages : 160 pages
date de publication : 13 octobre 2010
ISBN : 978-2-36104-058-1
Editeur : Democratic Books
couverture : cartonnée
Langue : Français
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Aventuriers engagés est le troisième ouvrage paru dans cette collection des Editions Bayard. Celle-ci propose aux adolescents des portraits d’hommes et de femmes dont les parcours uniques témoignent d’une quête de soi, et d’un engagement profond. Reza s’est prêté au jeu du témoignage, afin d’être l’une des figures de ce troisième volet centré sur celles et ceux qui vouent leurs vies à une cause humaniste. A travers quelques pages illustrées de photographies réalisées lors de ses reportages, Reza revient sur son expérience de photoreporter depuis plus de 30 ans, parcourant le monde et proposant en priorité aux femmes et aux enfants des formations au langage de l’image, afin que ceux-ci puissent faire entendre leurs voix, et témoigner de leurs réalités.
Plate-forme multimédia enrichie quotidiennement
du 3 octobre au 4 novembre 2011
A l’occasion de la commémoration des 10 ans de l’assassinat du Commandant Massoud, les médias sont revenus sur une décennie de guerres, d’espoirs et de bouleversements profonds en Afghanistan. Reza a souhaité s’associer au projet de webdocumentaire réalisé par Arte Reportage. Celui-ci prévoit la diffusion quotidienne de modules vidéos réalisés en interne, mais également par de jeunes réalisateurs afghans, le cinéaste Barmak Akram et Reza, sur la plate-forme web : « AFGHANISTAN : 10 ANS, 100 REGARDS ».
A travers le premier module “Résistance“, Reza livre ses souvenirs d’une amitié profonde avec le chef de la résistance afghane. Il porte un regard inédit sur la capacité de résistance du peuple afghan ainsi que le combat mené par Massoud et ses hommes contre l’envahisseur russe et les Talibans.
Cette plate-forme multimédia, dédiée à l’Afghanistan, rejoint l’esprit des formations aux métiers de l’information et de la communication menées par l’ONG Ainaworld depuis 10 ans, en donnant la parole aux Afghans.
Suivez en direct la diffusion des modules vidéo de Reza :
Drogues, la route du Sud Mise en ligne le 10 octobre 2011
Voyage sur la route de la drogue de
l’Afghanistan au Pakistan, entre culture
et descente aux enfers.
Au coeur d’un camp américain Mise en ligne le 17 octobre 2011
Histoire d’un choc des cultures, terreau
d’incompréhension et de haine.
Culture de Guerre Mise en ligne le 28 octobre
Zones tribales : quotidien d’un village
de faiseurs d’armes.
Nuit Blanche : le samedi 1er octobre 2011 3éme édition
Pour 2011 le CCF souhaite reconduire un projet pluridisciplinaire autour d’une thématique fil rouge « Ces murs qui nous parlent ».
Dans ce cadre une programmation est en cours d’élaboration avec les différents partenaires locaux et français :
– Un terre une famille : exposition des photographies de REZA en format géant sur la façade et dans le hall de l’hôtel de ville. Le photographe Reza qui est venue à plusieurs reprises sur Oran cette année dans le cadre d’un reportage pour la réalisation d’un livre sur l’Algérie en 2012 souhaite aussi participer à l’évènement.
Reza parcourt le monde, témoignant en images depuis plus de trente ans, des souffrances de guerre qui conduisent les hommes dans la tourmente de la violence, de la mort, de l’exode.
Nous avons vu les images exposées de part le monde, comme autant de témoignages qui dénoncent les silences du chagrin.
Reza est un homme engagé, qui se donne à cœur perdu dans des actions humanitaires.
Farideh Cadot expose aujourd’hui le photojournaliste qui, au-delà du combat et de l’engagement, révèle l’artiste et le poète. Au cœur de sa galerie, elle montre les œuvres pour la plupart inédites, d’un explorateur visuel, qui écrit avec la lumière.
Le choix éditorial de l’exposition “Errances Rebelles” puise dans le million d’images du fonds photographique appartenant à Reza. Le choix de Farideh Cadot se lit dans la confrontation des compositions de chaque photographie.
Lorsque la photographie d’une danseuse, empreinte de poésie, prend son envol au soleil couchant, le visiteur se retourne et se trouve face au soleil lourd d’une après-midi africaine jouxtant les traits rectilignes d’une bâtisse en construction. Un regard posé qui rend humanité et dignité.
Les photographies inédites de Reza, pour la première fois exposées dans une galerie française, seront visibles du 10 septembre au 22 octobre 2011 à la Galerie Farideh Cadot, à Paris.
samedi 10 septembre à 22h30
National Geographic Channel
DESCRIPTION
La mort du commandant Massoud a précédé de deux jours les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, et les deux événements semblent coordonnés. Dans un pays meurtri par des décennies de guerre, un homme tente de capturer l’image de l’espoir. Partez avec le photographe REZA, à la recherche du cliché qui immortalisera le visage d’une nation toute entière : l’Afghanistan. Grand ami du Schah Massoud Ahmad, et fervent partisan de la cause afghane, Reza nous livre par ses photos de véritables témoignages de notre humanité, prenant la forme d’une chronique se déroulant sur près de 20 ans de conflit.
GUIDE DES ÉPISODES
Derrière l’objectif : Reza: Reza
Dans un pays meurtri par des décennies de guerre, un homme tente de capturer l’image de l’espoir. Partez avec le photographe REZA, à la recherche du cliché qui immortalisera le visage d’une nation toute entière : l’Afghanistan. Grand ami du Schah Massoud Ahmad, et fervent partisan de la cause afghane, Reza nous livrent par ses photos de véritables témoignages de notre humanité, prenant la forme d’une chronique se déroulant sur près de 20 ans de conflit.
Pour les dix ans de la création de l’ONG Ainaworld Evénement artistique (happening) le 15 septembre de 17h30 à 20h00 Sur invitations uniquement
En présence de Reza, de La Présidente de l’American University of Paris, Madame Céleste Schenck, de la député du Nord et Vice-Présidente de Groupe Franco-Afghan de l’Assemblée Nationale Madame Françoise Hostalier, et du Pr. Mehdi Majidi, directeur de la Maîtrise en Gestion des Affaires Interculturelles et du Développement Durable.
Avec l’anniversaire d’événements symboliquement chargés qui ont changé notre vision du monde, la rentrée 2011 s’ouvre par la commémoration des dix ans des attentats du 11 septembre, de l’intervention militaire pour rétablir espoir et paix en Afghanistan, et de l’assassinat du chef de la résistance afghane, le Commandant Massoud.
Mais 2011 sera aussi l’année du 10ème anniversaire de l’ONG de nouvelle génération Ainaworld, qui oeuvre pour la restauration d’un climat de paix et l’établissement d’une société civile solide en Afghanistan, à travers la formation des populations aux métiers de l’information et de la communication.
Ce travail humanitaire, l’American University of Paris le récompense en 2009, en décernant à son fondateur et président, Reza, le titre de Doctor Honoris Causa.
L’American University of Paris accueille aujourd’hui l’exposition photographique de Reza et présentera les peintures des enfants d’Aschiana réalisées à partir des photographies de Reza le 15 septembre 2011.
Ce rendez-vous se déroulera autour d’un cocktail suivi d’un interlude musical.
Le dixième anniversaire des attentats du 11 septembre marque aussi le dixième anniversaire de l’assassinat du Commandant Massoud, le feu leader de la résistance afghane contre les soviétiques et plus tard les Taliban et Al-Qaida.
Massoud fut assassiné le 9 septembre 2001, par deux membres d’Al-Qaida, se présentant comme des journalistes.
De 1983 à la vallée du Panjshir, jusqu’en avril 2001, alors qu’il combattait les Taliban et Al-Qaida au nord de l’Afghanistan, Reza documenta de façon exclusive et étendue avec ses photographies et un film documentaire pour le National Geographic Television, la vie quotidienne et le combat de Massoud pour un Afghanistan libre.
Certaines de ces photos sont depuis devenues des icons mondialement connues.
Ces photos retracent 17 ans de travail par Reza et montrent comment les afghans ont depuis adoptés ces images.
Chemins parallèles: correspondances autour d’un voyage initiatique entre père et fils
C’est l’histoire d’une parole donnée que l’on ne trahit jamais, l’histoire d’une promesse faite par un père, le grand photo-reporter Reza, à son fils Delazad. Petit, ce dernier pleurait les séparations et se cachait dans les valises de son père. Attentif à la tristesse de son fils, Reza dit à l’enfant : «Quand tu auras 15 ans, nous partirons seuls, toi et moi, pour un tour du monde».
Les années ont passé. Delazad a commencé à tapisser sa chambre de cartes du monde, à dévorer des atlas et est devenu ainsi un géographe en herbe. Des années durant lesquelles il a suivi avec ses camarades d’école les voyages de son père en marquant chacune de ses destinations sur la carte du monde de sa classe.
En mai 2008, Delazad a 15 ans. En juillet, père et fils s’envolent donc direction Pékin, ville olympique, et décident de traverser la Chine en train jusqu’à Paris. Autrement dit, de faire leur route de la soie.
À travers les textes de l’un et de l’autre et une sélection d’images rapportées de leur périple, le livre raconte l’histoire de ce voyage ; un voyage émouvant et intime comprenant de nombreux échanges entre un père et son fils.
Iranien en exil basé à Paris, Reza parcourt le monde depuis plus de trente ans. Reconnu par ses pairs et connu du grand public, Reza est un photographe engagé, dont le parcours est aussi remarquable qu’atypique. Du Maghreb à l’Asie, de l’Afrique aux Balkans, les images de Reza savent capter les regards, la lumière et la mémoire des pays traversés.
Adepte de la sobriété dans les cadrages, Reza appartient à la grande tradition des photographes humanistes. Ses images, largement diffusées dans la presse internationale (Time Magazine, Stern, Newsweek…), témoignent de sa foi en l’homme et en son courage.
Dans cet ouvrage, le photographe nous fait entrer dans son univers, derrière son objectif, commentant une centaine de photographies emblématiques de son parcours. Reza retrace les étapes de la création en révélant le contexte d’une prise de vue, son intention, le choix d’une technique ou d’un cadrage, et éclaire ainsi son travail d’un jour nouveau.
Siège du quotidien turc Zaman à Istanbul, Yenibosna.
Dans le cadre du séminaire +1T Newspaper and Design Days destiné à 300 designers et organisé du 20 au 28 juin 2011, par le groupe de presse Zaman, Reza donnera une conférence sur l’importance de la photographie dans l’équilibre visuel des supports de presse écrite.
Un jour de l’année 1983, je pénètre pour la première fois en Afghanistan.
Le médecin parisien qui m’a prescrit une convalescence à la montagne, salutaire à mes poumons atteints par des bombes au phosphore alors que je couvrais la guerre au Liban, m’avait conseillé les Pyrénées ou les Alpes ;
je lui avais rétorqué : « Et l’Afghanistan ? »
J’avais entendu parler d’un peuple fier entré en résistance une fois de plus contre un nouvel envahisseur : les Russes. La guerre y faisait rage : c’était David contre Goliath.
Dès ce premier jour en Afghanistan, j’ai commencé à tisser un lien ineffable et précieux avec ce pays et le combat de ses habitants pour leur liberté.
Depuis, je n’ai cessé d’y retourner, partageant leur quotidien ainsi que celui de Massoud, chef charismatique de la résistance, témoignant en images de leur lutte constante et de leurs espoirs.
Aujourd’hui, je suis heureux d’exposer certaines de ces images au Château de Carrouges, et de vous inviter à découvrir ces âmes rebelles.
Merci de confirmer votre présence au 02 33 31 90 90
Acteur de paix qui partage son temps entre photographie et engagement humanitaire, Reza a sillonné plus de cent pays, couvrant de nombreux conflits, révolutions et catastrophes humaines. Son action auprès des populations se concrétise en Afghanistan, à travers l’association Aina qu’il a fondée en 2001, afin d’accompagner ce peuple, en particulier les femmes et les enfants, vers une plus grande autonomie.
Exposition organisée par l’Office départemental de la culture
Du 6 mai au 6 juin 2011
Orne – Basse Normandie
Tous les jours de 14 h à 18 h
Depuis 2009, Reza – avec le soutien d’Antonio Presti, fondateur de la Fondation Fiumara d’Arte – a initié un programme de formation à la photographie destiné à 100 jeunes de Librino, banlieue populaire de la ville de Catane (Sicile). En février 2011, lors d’une des sessions de formation, une équipe de Metropolis a accompagné Reza et les élèves dans cette aventure visuelle et humaine.
Reportage: Aurélie CHARON pour Metropolis, ARTE.
Depuis 2009, Reza – avec le soutien d’Antonio Presti et de la Fondation Fiumara d’Arte – a initié un programme de formation à la photographie destiné aux jeunes de Librino, banlieue populaire de la ville de Catane.
Au fil de ces rendez-vous mensuels entre Reza et les adolescents, la photographie maîtrisée devient moyen d’expression. Les regards posés sur eux-mêmes, le monde qui les entoure et leurs rêves d’avenir, tissent une histoire intimiste et sincère.
En février 2011, lors d’une des sessions de formation, une équipe de Metropolis a accompagné Reza et les élèves dans cette aventure visuelle et humaine.
Emission Métropolis, ARTE Samedi 2 avril à 23h50, Dimanche 3 avril à 17h45 Disponible pendant 7 jours sur : Arte + 7
Ali Badri, réalisateur iranien, revient sur le parcours singulier de Reza, entre photojournalisme et engagement humanitaire. “Parvaz” retrace la genèse du livret éducatif du même nom, qui signifie l’Envol en persan et a été lancé en 2002 en Afghanistan par l’ONG Ainaworld.
A travers ce documentaire, c’est l’histoire d’une rencontre entre Ali Badri et Reza qui nous est contée, d’homme à homme, d’ami à ami, d’éxilé à éxilé.
“Parvaz”
(52’) Réalisation : Ali Badri
Co-production F.A.D et Mil Sabords, 2010
Fardin Waezi est l’un des premiers photographes formés par l’ONG Aina. Il expose actuellement son travail au Palais de la Reine à Baghe Babur, où l’exposition photographique « Vues de Kaboul » réunit plusieurs photographes. En collaboration avec le Tate Modern et la fondation Aga Khan pour la Culture, Fardin Waezi vous invite cordialement à venir découvrir de nouveaux regards sur la capitale Afghane, du 6 au 28 mars 2011.
Aina est une ONG de nouvelle génération, fondée en 2001 par Reza dans le but de contribuer à la reconstruction immatérielle des pays en situation de crise ou post-crise, à la restauration d’un climat de paix et à l’établissement d’une société civile solide.
Reza a ainsi supervisé en 2006 un programme de formation à la photographie en Ouganda, en collaboration avec le National Geographic Photo Camp et l’International Medical Corps, auprès de 60 adolescents réfugiés du Rwanda. Un projet similaire avait aussi été mené dans les camps de réfugiés irakiens et il programme actuellement un atelier photo au Burkina Faso, auquel devrait succéder la création d’une grande « Ecole Internationale de l’Image ». En outre en 2010, avec la collaboration de l’Unicef et de Sony World Photography en Ethiopie, des professionnels des médias visuels ont été amenés à devenir formateurs pour adolescents. Enfin, Aina a assisté cette même année le lancement d’un programme de formation en média visuel destiné à une centaine d’adolescents issus d’une des banlieues les plus pauvres de Sicile. Le projet aboutira à la création d’un musée en plein air sur les murs aveugles de la cité. Nous espérons voir naître de nouveaux talents, à l’image de Fardin Waezi, à travers le monde.
« Le pouvoir de l’image pour un changement social »
Conférence de Reza
Invité d’honneur
Northeastern Illinois University
La Northeastern Illinois University accueille le photojournaliste Reza en tant qu’invité d’honneur. Il participera au cycle de Conférences Présidentielles sur le thème « Paix et Changement Social par la non-violence ».
Philanthrope, idéaliste et humaniste, Reza oeuvre depuis trente ans, à travers ses photographies, pour un changement social. L’ONG Ainaworld qu’il a fondée en 2001, soutient la création d’outils éducatifs adaptés pour atteindre le plus grand nombre de bénéficiaires, afin que ceux-ci contribuent à la reconstruction immatérielle des pays en situation de crise ou post-crise. De cette manière, il promeut la restauration d’un climat de paix et la reconstruction d’une société civile solide.
Mardi 10 mars, 18:00 – 21:30
NEIU Auditorium
Northeastern Illinois University
CBM 179
5500 N. St. Louis Ave.
Chicago, IL 60625
Du mercredi 16 Février au vendredi 29 avril le « Human Right Institute at Kean University », dans le New Jersey, accueillera « Une Terre, Une Famille », une exposition de 40 portraits de Reza.
« Au-delà des frontières, de la diversité culturelle, je tente de prendre ma plume et de raconter l’histoire de notre monde, celle de notre famille, en marche vers une destinée commune : un monde plus juste. Cette exposition est un appel à tendre la main, à écouter l’autre, à le comprendre », explique Reza. A travers cette exposition, il propose son regard sur les guerres, les révolutions, mais aussi la tendresse, la beauté et l’espoir.
Exposition produite par la National Geographic Society.
Les Âmes Rebelles: Un hommage vivant et poétique à un pays et un peuple.
C’est une histoire forte, qui raconte la fidélité et l’amitié. Deux mots qui vont bien ensemble. L’amitié de Reza pour un résistant, Massoud; la fidélité du photographe pour son peuple et son pays, l’Afghanistan. Au fil des pages et des images, l’ombre des guerres du passé plane, mais les regards, les paysages verts et la poésie sont autant de traces de vie qui reprennent leurs droits. Le texte d’Atiq Rahimi en français et persan fait corps dans l’évocation et le graphisme, avec les photographies de Reza.
Nous espérons vous voir pour cette dernière édition des Samedis de la Folie N6,
organisée autour de l’exposition “Une Terre, une famille” de Reza
Samedi 18 décembre 2010
“Folie N6″ au Parc de la Villette
en présence de Reza
Entrée Libre
Programme
14h30 « Aina, une aventure humaine »
(12′) Aina production 2006
Ce documentaire présenté par le photographe reporter Reza, nous invite à une réflexion profonde sur la guerre et ses conséquences. A travers son expérience est né un synopsis de l’histoire de l’Afghanistan et de ses problèmes actuels.
Il fonde l’ONG Aina en 2001, qui forme les populations aux métiers de l’information et de la communication, avec une attention particulière portée aux femmes et aux enfants.
14h45 « In the eye of the storm »
(8′) Aina production 2008
Teaser présentant le travail photographique de Reza.
15h « Ma visite »
(6′) Roberta Bruzzechesse 2010
Court métrage présentant l’exposition “Une Terre, une famille” de Reza
15h15 « Vivre sa vie »
(52′) Aina production 2003
Voici le portrait du photographe Reza, qui considère la photo comme un moyen de changer le monde socialement, politiquement et moralement.
C’est à travers son regard que nous réalisons que les enfants sont les véritables victimes de la guerre.
16h30 Résultat concours photo
et remise de prix
Grand Prix Photos sur le thème : “Mon Paris à Moi”
Le Centre d’initiative pour l’emploi des jeunes, EDI Coquéron et Aina ont organisé un atelier et un concours photo cet été.
Ce projet a vu le jour grâce à la participation de Reza au projet de récolte de
fonds au bénéfice de La Sauvegarde de l’Adolescence à Paris.
C’est l’histoire d’une promesse tenue du photographe REZA à son fils, de partir tous les deux autour du monde.
Photographe de renom, Reza, et son fils Delazad, ont voyagé de Beijing à Paris et ont partagé 16000 kilomètres d’aventures et de découvertes. Traversant les endroits les plus reculés au monde, ils ont parcouru l’ouest de la Chine et traversé le plateau tibétain jusqu’à la Mongolie et la Turquie. Des temples bouddhistes aux vieilles mosquées en passant par les steppes, ils ont découvert ensemble les empires, le rythme des cultures et ont noué une relation père-fils particulière.
– 14h00: Premier épisode : “Beijing” (26′)
– 14h30: Deuxième épisode : “Chine spirituelle” (26′)
– 15h00: Troisième épisode : “Mongolie” (26′)
– 15h30:Quatrième épisode : “Tchétchénie” (26′)
– 16h00:Cinquième épisode : “Train du retour” (26′)
16h30
Séance de dédicaces et rencontre
avec Reza et son fils Delazad
Reza parcourt le monde depuis plus de 30 ans. Il est, pour reprendre les mots d’Alain Mingam, un véritable « pèlerin de l’authenticité ». Il sait capter les regards et la mémoire des pays traversés, les « pépites de la vie » de Kaboul au Soudan, du Caire à Bagdad. Ou, comme l’écrit Alain Genestar, il est un « attrapeur d’ombre et de lumière, de vie et de mort, de guerres et de paix, de simplicité et de vérité. »
Photographe reconnu par ses pairs et maintenant connu du grand public, Reza a couvert tous les conflits, la générosité et l’humilité en bandoulière, habité par la pensée soufie. Collaborateur du prestigieux National Geographic, il est aussi le fondateur d’AINA, une association d’entraide et de formation pour les professionnels des médias qui a débuté en Afghanistan et qui se développe dans d’autres pays aujourd’hui. Né à Tabriz, en Iran, il a passé trois années en prison, arrêté par la Savak, la police politique du Shah.
Adepte de la sobriété dans les cadrages, sous la double influence des icônes de son enfance et des natures mortes peintes par sa soeur, Reza appartient à la grande tradition de la photographie humaniste. Une leçon de solidarité et un acte de foi en l’homme dont il témoigne encore aujourd’hui en offrant 100 de ses photos à Reporters sans frontières, nous permettant ainsi de poursuivre le combat contre les ennemis de la liberté d’expression.
Nombre de pages : 144 pages
Date de publication : 25 septembre 2008
ISBN : 978-2-915536-72-0
Editeur : Reporters sans Frontières
Type de couverture : Souple
Commandez l’album RSF
A destination de la France: 9,90 + 5,00 =14,90 Euros
Venez rencontrer Reza et Atiq rahimi pour les livres “derriere l’objectif” et “afghanistan les ames rebelles” .
Découvrez le dernier livre photo « derrière Objectif » de Reza. Dans cet ouvrage le photographe nous fait entrer dans son univers, derrière son objectif, commentant une centaine de photographies emblématiques de son parcours. Reza retrace les étapes de la création en révélant le contexte d’une prise de vue, son intention, le choix d’une technique ou d’un cadrage, et éclaire ainsi son travail d’un jour nouveau.
Présentation de son dernier ouvrage et projection du documentaire “Afghan Warrior”
“Folie N6″ au Parc de la Villette
Samedi 4 décembre 2010
à 15h
Dans le cadre de l’installation de photographies
“Une Terre, une famille” de Reza
Entrée Libre
Programme
15h
Présentation de l’ouvrage «Derrière l’objectif »
Parution : novembre 2010, Editions Hoëbeke
Textes de Rachel Deghati
Dans cet ouvrage, Reza nous fait entrer dans son univers, derrière son objectif, commentant une centaine de photographies emblématiques de son parcours.
Le photographe retrace les étapes de la création en révélant le contexte d’une prise de vue, son intention, le choix d’une technique ou d’un cadrage, et éclaire ainsi son travail d’un jour nouveau.
16h15
Séance de dédicaces et rencontre avec Reza
16h30
Projection film-documentaire « Afghan warrior »
par National Geographic :
L’histoire du célèbre portrait de Massoud par Reza
Le 9 septembre 2001, le commandant Massoud est assassiné. Neuf ans après, Reza part sur ses traces et dresse un portrait de l’Afghanistan.
Dans un pays meurtri par des décennies de guerre, un homme tente de capturer l’image de l’espoir à travers son objectif. Parti à la recherche du cliché qui immortalisera le visage d’une nation entière, Reza livre par le biais de ses photos un véritable témoignage sur l’humanité. Grand ami du commandant Massoud et fervent partisan de la cause afghane, il déroule ses clichés sous la forme d’une chronique illustrant vingt ans de conflit.
Soirée débat : “Photojournalisme : témoignages et transmission”
Avec Leili Anvar, Atiq Rahimi et Reza
Jeudi 02 décembre à 20h30
Grande Halle, salle Boris Vian au Parc de la Villette
Entrée libre
Places limitées : réservations recommandées sur communication@ainaworld.org
PROGRAMME:
– Intervention Leili Anvar :
Héritage et transmission : Les miniatures persanes
– Intervention Atiq Rahimi :
De l’écriture à la fiction : « Terre & Cendres »
– Intervention de Reza :
Photojournalisme et témoignage : « Les Ames Rebelles »
Docteur es Lettres spécialiste de littérature persane, Leili Anvar est une universitaire franco-iranienne.
Elle enseigne actuellement à l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO).
Elle est également traductrice et a dirigé la publication d’une anthologie de poésie arabe, persane et turque intitulée “Orient – Mille ans de poésie et de peinture”.
Atiq Rahimi est un romancier et réalisateur franco-afghan.
Il a reçu le Prix Goncourt en 2008 pour son roman Syngué sabour, Pierre de patience”.
Son premier long-métrage “Terre et cendres”, présenté dans la section Un Certain Regard au festival de Cannes 2004, a obtenu le Prix du Regard vers l’Avenir.
Une vente aux enchères publiques de quatre photos de Reza aura lieu à l’Hôtel Drouot, le samedi 9 octobre 2010 à 15h00, avec au préalable une exposition des œuvres de 11h00 à 12h30.
Pendant quatre mois, du jeudi 16 septembre, 2010 au lundi 3 janvier 2011 le Parc de la Villette met en scène 22 photos de Reza
Investissant la totalité du parc de la Villette, déployée sur
les folies, petits bâtiments rouges créés par l’architecte Bernard Tschumi, l’exposition Une terre, une famille a été spécialement conçue avec Reza comme une installation sur les 55 hectares du parc.
Vingt-deux portraits invitent le promeneur à un face à face avec des histoires de vies d’hommes et de femmes prises dans le tourbillon de l’Histoire.
Du Rwanda à l’Afghanistan, du Cambodge à la Chine, la Mongolie et le Pakistan, en passant par Le Caire, c’est une invitation à rencontrer, à travers les conflits, les douleurs, les rêves qui les animent, les divisent, les rassemblent, des femmes, des hommes, des enfants, d’en approcher les singuliers récits.
Le parti-pris de Reza dans cette installation est de recomposer, à partir d’une multitude de portraits, une fresque, proche du tableau d’histoire.
Chronique en grands formats du parcours d’un photographe dont le travail est propre à nous interroger, entre autres, sur nos engagements, notre devenir de citoyens du monde.
Information Pratiques:
“Une terre, une famille”
Installation en plein air sur les folies du parc
Du 16 septembre 2010 au 3 janvier 2011, toute la journée et en soirée.
“C’est l’histoire d’une promesse tenue du photographe REZA à son fils, de partir tous les deux autour du monde. La première étape de ce voyage initiatique les a entraînés sur la mythique route de la soie, de Pékin à Paris.”
« Photographe pour National Geographic Magazine, humanitaire dans l’âme et dans les actes, ma passion m’a guidé vers la formation des femmes et l’éducation des enfants dans le monde. En tant que père, ma fierté est de pouvoir transmettre ces valeurs à mes propres enfants. D’aussi loin que je me souvienne, je revois mes parents murmurer à leurs enfants des poèmes et des légendes défendant la liberté et la justice. Aujourd’hui, les parents, accaparés par ce monde trop pressé, entendent-ils vraiment leurs enfants, transformés en murs-écrans ? Incompréhensions réciproques. Les générations doivent continuer à se regarder, se parler, se rencontrer. Pour, qu’à l’ère de l’utra-communication, ce repli humain ne vienne pas à bout de notre civilisation. » REZA
“Être patient, rester au cœur des guerres, des cérémonies, des larmes, des blessures et des joies, ne devenir rien d’autre qu’une caisse de résonance par l’image – tel est mon rôle. Témoin des tourments et des joies de l’Humanité, j’ai fondé l’ONG Aina en 2001 pour éduquer des enfants et former des femmes aux métiers de la communication et de l’information.Le monde est mon champ de vision. De la guerre à la paix, de l’ineffable aux instants de poésie, mes images se veulent des témoignages de notre humanité sur les routes du monde.”
Une retrospective rare sur la province musulmane de Chine par Reza
Suite à plusieurs jours de violences dans l’extrême occident chinois, la province du Xinjiang (ou de son nom d’origine, le Turkestan Oriental), au moins 160 personnes ont trouvé la mort et plus de mille autres ont été blessées.
Depuis cinq décennies, la chine communiste a profondemment accru son contrôl sur ce territoire riche en hydrocarbures et économiquement vitale. Même si la constitution chinoise accorde officiellement un droit égal aux minorités éthniques, de grandes tensions existent entres les locaux et les nouveaux arrivant d’origine Han.
Les Ouïghours, un peuple d’origine turque et de confession musulmane qui compose la majorité de la population du Xinjiang se sont depuis toujours complaint de discriminations sur leur propre territoire, avec des droits semblables à ceux de citoyens de seconde zone. Une politique de colonisation extrême vise à modifier la structure éthnique de la région en faveur des chinois Hans. Ces derniers composent désormais un peu moins de la moitié de la population, passant de 6% à 40% en quarante ans.
Les autorités chinoises accusent de leur côté des séparatistes et des terroristes d’être à l’origine des tensions et tentent de créer un parallèle avec la guerre contre le terrorisme prônée par les Etats-Unis d’Amérique.
Reza fut le premier photographe étranger à pénétrer dans cette région après plus de quarante ans d’isolement, faisant découvrir au monde un peuple et une terre presque complétement oubliés. En 2008, il y retourna pour un nouveau reportage, mettant à jour une rétrospective rare sur le Xinjiang/Tukestan Oriental et les Ouïghours.
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Le marin en couverture de ce livre pourrait s’appeler Sindbad. En ce personnage des Mille et une nuits se trouvent incarnés nombre de voyageurs et d’aventuriers légendaires qui ont parcouru les terres et les mers depuis les colonnes d’Hercule jusqu’au-delà des détroits des îles de la Sonde.
Reza, en Sindbad de notre temps, s’attache depuis trente ans à rapporter de l’Orient des images qui explorent ce qui subsiste d’antiques manières de vivre dans des sociétés marquées par les assauts du monde actuel.
Les sept récits de Sindbad, qui associent les photos de Reza et les textes du géographe Pierre Gentelle, posent un regard fraternel sur des visages et des scènes d’aujourd’hui, semblables, à s’y méprendre parfois, à des tableaux anciens. Ils expriment tour à tour le bonheur de la fête et du partage, la douleur de l’injustice ou les suppliques pour la paix. Ils mettent en valeur la vie simple, l’artisanat attentif à ne pas dégrader la planète, la réunion des familles et des amis autour d’un feu ou d’un repas.
Car tous les Sindbad, du Caire ou de Bagdad, d’Ormuz ou de Calicut, qu’ils s’appellent Reza ou Pierre, voyagent à la rencontre des réalités de leur temps autant que des traditions et sagesses ancestrales. La découverte vaut toujours d’être tentée.
“Making Peace” est un évènement international. Sa vocation est de présenter le mouvement mondial en faveur de la paix dont les actions ont marqué le cours du 20e siècle.
Les associations Cartooning for Peace et Aina, fondées respectivement par Plantu et Reza, en étaient les invitées d’honneur.
L’inauguration de “Making Peace” 2010 a eu lieu le 6 Juin.
Un village associatif en plein air a ouvert ses portes pour le week-end avec des stands, expositions, projections de films, débats et ateliers autour de nombreux sujets ayant trait aux problématiques de la paix, à l’instar du changement climatique, des droits de l’homme ou de la lutte pour le désarmement.
Des projections de courts-métrages présentant l’association Aina, l’unique ONG internationale invitée à l’évènement, et des séances de dédicaces de Reza ont également été organisées.
Une exposition de photographies en plein air d’artistes du monde, où sont présentées certaines images iconiques de Reza, se prolongera jusqu’au 4 juillet sur le Quai Wilson, au bord du lac Leman.
Le photojournaliste mondialement connu prend la parole pour la Journée des Droits de l’Homme à l’Université de Concordia au Congrès 2010
Le 28 mai 2010, Reza, photojournaliste acclamé, prendra la parole pour la Journée des Droits de l’Homme à l’Université de Concordia, à l’occasion du Congrès des Humanités et Sciences Sociales 2010. Intitulée « Témoin de la Souffrance Humaine », la présentation se tiendra de 14h à 15h30 au Théâtre D.B. Clarke dans le bâtiment Henry F. Hall qui se trouve au 1455 Boulevard De Maisonneuve. La présentation sera ouverte au public et l’entrée sera libre.
Auteur de 17 livres et gagnant du prix Unicef Hope en 1996 pour son travail sur les camps de réfugiés au Rwanda, Reza a couvert certains des plus grands conflits de ces 30 dernières années. Photographe de longue date pour National Geographic, ses reportages ont été publié dans le Time, Newsweek et le Figaro. Il est également fondateur et président d’Aina World, association humanitaire engagée dans la participation à la reconstruction de la société civile dans les pays qui sortent de la guerre.
Au cours de la série de conférences du Président, organisée par le Congrès, Reza parlera de ses expériences en Afghanistan ainsi que du rôle de l’éducation et des médias indépendants dans la promotion des droits de l’homme, de l’autonomisation des femmes et de la vie culturelle. En plus de sa présentation, il réalisera une dédicace, dirigera un Master Class pour un groupe d’étudiants Canadiens et fera une donation d’une de ses œuvres les plus iconiques à une vente aux enchère. Les bénéfices en seront reversés à plusieurs organisations caritatives.
Après avoir été présentateur au Festival Littéraire Blue Metropolis, le retour de Reza à Montréal marque l’approfondissement de ses liens avec les communautés artistiques, journalistiques, et académiques du Québec. En marge de sa participation au Congrès, Reza sera à Montréal pour planifier une exposition en plein air au Vieux Port prévue pour l’été 2011.
REZA : Témoin de la Souffrance Humaine Le 28 mai, 2010 à 14h Université de Concordia Théâtre D.B. Clarke (bâtiment Henry F. Hall) 1455 Boulevard De Maisonneuve W. http://www.congress2010.ca/
Pour plus de renseignements sur cet événement et la programmation au cours du Congrès, veuillez contacter pcs@alcor.concordia.ca ou appeler le 514-848-2424 begin_of_the_skype_highlighting 514-848-2424 end_of_the_skype_highlighting, ext. 4859.
Pour plus d’informations à propos de Reza ou d’Aina World, veuillez contacter Fiona O’Connor à development@ainaworld.org ou appeler le + 33 (0)1 42 03 64 23 begin_of_the_skype_highlighting + 33 (0)1 42 03 64
Infinity Award en Photojournalisme décerné à REZA pour son dernier reportage en Afghanistan “Il était une fois l’empire Russe”
Le 10 mai, lors d’une soirée de Gala à New York, Reza a reçu le prestigieux Infinity Award du ICP (Centre International de la Photographie) dans la catégorie Photojournalisme devant un parterre de 650 personnalités. Sa série de photographies réalisée en Afghanistan «Il était une fois, l’Empire russe» a été mise à l’honneur.
Le Infinity award créé en 1985, distingue des photographes dont le travail permet de regarder le monde différemment.
“Il était une fois un combat inégal entre un Empire et un peuple; un géant meurtrier, qui n’avait de cesse de mettre à genoux une population sans défense mais rebelle à toute invasion étrangère.
Il était une fois l’Empire russe contre l’Afghanistan. C’était il y 30 ans. Jeune photojournaliste, je couvrais ce conflit inégal et la résistance d’une poignée d’hommes menée par le Commandant Massoud. L’artillerie des Russes était lourde, forte d’hélicoptères, de chars, de bombardiers, qui ne laissaient pas de répit et peu de chance d’échapper à une mort probable. Le peuple massacré souffrait; les résistants afghans ne lâchaient rien de leur combat pour la liberté de leur pays.
Après 10 ans d’une lutte acharnée, la plus grande armée de l’époque subit son premier échec et se retire de l’Afghanistan. Dix mois plus tard, les vagues de cet échec ébranlent les fondations de l’Empire russe et provoquent l’effondrement du mur de Berlin.
Chaque Empire a laissé des ruines. Deux décennies plus tard, des ruines de l’Empire russe parsèment l’Afghanistan, tels des butins de guerre détournés à des fins pratiques par un peuple dont la fierté est le souffle de sa résistance. Les Empires, les tyrans et leurs désirs de conquêtes sont peu de choses au regard du temps qui passe et de la volonté d’un peuple en marche vers sa liberté.
Le témoignage de ces luttes est relayé par les journalistes au péril de leur vie.
Je dédie ce prix à tous les journalistes iraniens emprisonnés, torturés ou tués et à leur combat solitaire pour nous informer des exactions d’un régime totalitaire.”
“Carrying on the tradition of excellence in photojournalism is Iranian photographer Reza, who also had the crowd on its feet. In his remarks, Reza emphasized the power and importance of educating people to document their own stories.” The Wall Street Journal
A l’occasion du 20ème anniversaire de la Convention des droits de l’enfant des Nations Unies, UNICEF et l’Organisation mondiale de la photographie sponsorisée par Sony, ont lancé une campagne de sensibilisation à travers un concours de photographie. Six jeunes photographes, venus de 6 continents ont reçu le prix international de la photographie, catégorie jeunesse, décerné par Sony. Reza, photographe, qui défend les droits de l’enfant, a présidé le jury qui était composé de Mary Ellen Mark, Carol Allen Storey, Bruce Davidson et Jonathan Torgovnik. Reza a présenté cette campagne à Cannes en avril 2010 en présence de deux des jeunes lauréats.
En novembre 2010, les six jeunes gagnants rejoindront Reza et UNICEF dans le cadre d’un atelier photo qui se tiendra en Ethiopie.
Reza a commenté cette expérience en ces termes : “L’enthousiasme et le grand talent de ces enfants m’a beaucoup touché. J’estime que dans le monde d’aujourd’hui, les images, en tant que langage commun, peuvent constituer le pilier d’une éducation promouvant la paix”.
Vendredi 2 octobre 2009 de 19h à 21h au théâtre Claude Lévi-Strauss
PHOTOQUAI / Ecoles : Regards croisés
En présence de Patrick Talbot, directeur de l’ENSP, du photographe Reza, de Claire Chevrier, photographe, enseignante à l’ESA, et des photographes de « regards croisés » : Duy Phuong Le Nguyen, Pascal Amoyel, Ricardo Yui et Faustine Fermhin.
Le musée du quai Branly a invité l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles à présenter les « regards croisés » figurant sous forme de diaporamas dans le hall du musée. L’ENSP a, en outre, invité l’École Spéciale d’architecture (ESA) de Paris, pour un échange sur le thème des partenariats internationaux.
Le photographe Reza est invité pour intervenir sur son expérience spécifique, pédagogique notamment, en Afghanistan ou au Pakistan.
Pour enrichir la soirée, d’autres jeunes photographes – anciens étudiants ou étudiants actuels de l’ENSP – Françoise Beauguion, Edouard Beau et d’autres de l’ESA, présenteront leurs travaux.
Vendredi 23 octobre 2009 de 19h à 21h au théâtre Claude Lévi-Strauss
Rencontre PHOTOQUAI / Autour de l’Iran: REZA
le musée du quai Branly vous propose de découvrir les singulières expériences de Reza, photojournaliste présent au cœur des conflits qui ont marqué ces dernières décennies avec pour seule arme son appareil photo. Reza témoigne de ses engagements à travers deux documentaires et la présentation de ses travaux photographiques.
Une présentation multimédia utilisant le son, l’image et la voix pour interroger le spectateur sur la nature de l’Homme, entre guerres et paix. Reza nous fait partager sa vision du monde à travers une centaine de photographies réalisées au cours de ces trente dernières années, abordant les joies et souffrances de l’Être Humain.
Reza : Shooting Back offre un aperçu de l’engagement humanitaire du photographe Reza. Ce reportage raconte son vécu, des rues iraniennes aux montagnes de l’Afghanistan en passant par des villages rwandais. Il montre comment Reza, emprisonné, torturé et finalement banni de son pays d’origine pour avoir pris et affiché des images dans les rues de Téhéran, combat les injustices et promeut la liberté de parole. Cette projection est aussi l’occasion de comprendre comment Reza aborde son travail face à des populations prises dans la spirale des conflits et de la guerre.
Diaporama photo « 30 ans de photojournalisme »
Une trentaine de photographies présentées et commentées par Reza.
Né à Tabriz, en Iran, exilé en France et citoyen français, Reza est un reporter-photographe et un philanthrope de renommée internationale très engagé dans l’éducation des générations futures et dans l’autonomisation des femmes par le biais des médias et de la communication. Il est l’auteur de quinze ouvrages, publiés par le magazine National Geographic et ses photos ont été exposées dans les plus grandes villes. Distingué à plusieurs reprises, il a été nommé Docteur Honoris Causa de l’Université Américaine de Paris et Chevalier de l’Ordre National du Mérite. Il a également reçu la Médaille d’Honneur de l’Université du Missouri – Ecole Supérieure de Journalisme de Columbia.
Dans le cadre de Photoquai 2009, il est commissaire pour la Chine et l’Asie centrale avec Sarah Oghuz Nazirova et Na Risong.
entrée libre dans la limite des places disponibles
C’est l’histoire d”une promesse que l’on ne trahit jamais, celle faite par le photographe Reza à son fils, Delazad, d’un voyage initiatique autour du monde. Le livre de la première étape entre Pékin et Paris sort en libraire aujourd’hui.
C’est l’histoire d’une promesse que l’on ne trahit jamais, celle faite par le photographe Reza à son fils, Delazad. Petit, ce dernier pleurait les séparations et se cachait dans les valises de son père, grand reporter. Jusqu’au jour où Reza dit à l’enfant : « Quand tu auras 15 ans, nous partirons tous les deux seuls, toi et moi, pour un tour du Monde ».
Les années ont passé. Delazad a commencé à dévorer des atlas, à tout apprendre sur les pays, devenant ainsi un géographe en herbe. Des années pendant lesquelles il a suivi les voyages de son père en marquant chacune de ses destinations sur les cartes du monde qui tapissaient sa chambre.
En mai 2008, Delazad a 15 ans. En juillet, père et fils s’envolent direction Pékin, où ils arrivent en pleine préparation des Jeux Olympiques. De là, ils ont décidé de traverser la Chine, la Mongolie, la Russie, le Caucase, la Turquie et l’Europe Centrale et de remonter en train jusqu’à Paris, leur route de la soie. Tout au long des deux mois de voyage, ces « Sindbads modernes » enverront à Rachel, par mail et texto des lettres et des photos. Elle, la mère et l’épouse, sera le trait d’union de leur aventure.
Le livre raconte à travers ces textes et les images de Reza, l’histoire de ce périple qui est aussi un voyage initiatique. Pour le fils, une première leçon de vie, un passage à l’âge adulte. Pour le père, un moment unique d’intimité et de dialogues, de compréhensions mutuelles.
“Je crois que ce face à face avec l’inconnu conduira Delazad au fil de ce voyage, à s’interroger sur sa propre identité, ses racines. Au fond, la rencontre avec la différence radicale est comme un miroir de ce que l’on est.” Reza
“Il parait qu’il faut toujours écouter les gens locaux que tu rencontres et ne pas rester trop figé sur des idées préétablies, les tiennes ou les leurs. Donc, on fait le tracé de notre route, on le défait pour en refaire un autre. Moi, ca m’énerve un peu tous ces changements.” Delazad
A la veille de la 2nd élection présidentielle afghane libre après la chutte des Taliban, Reza a suivi la campagne électorale du Dr. Abdullah, candidat qui pourrait bien mettre en ballotage le président sortant, Hamid Karzai.
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Après le succès rencontré au Mémorial de Caen, l’exposition de Reza « Entre Guerres et Paix » prend ses quartiers d’été à Saint-Lô où elle s’installe du 3 juillet au 16 août.
A travers 64 clichés disposés dans la ville, cette exposition en plein air invite les visiteurs à découvrir des photographies rapportées de quatre continents par ce témoin direct des turbulences qui ont secoué la planète depuis les trente dernières années.
L’exposition « Entre guerres et paix » prend une résonance toute particulière dans cette ville qui commémore cette année le 65ème anniversaire du Débarquement et de la Libération. Hier meurtrie par la guerre, Saint Lô, célèbre aujourd’hui la paix avec ces images empreintes d’une grande humanité et porteuses de vie et d’espoir.
Les montagnes du Xinjiang, l’ancien Turkestan chinois, abritent des grottes restées longtemps inaccessibles. Après trois ans de négociation, Reza a pu les visiter pour en découvrir les peintures murales et les révéler au public. Destinées à orienter le pèlerinage et la prière, ces images pariétales, réalisées entre le IVème et le VIIème siècle, racontent toute l’histoire de Bouddha: ses vies antérieures, mais aussi la mythologie bouddhique, ses symboles, ses personnages, son bestiaire. Audace des couleurs, confrontation des styles indien, grec, iranien, afghan et chinois, foisonnement des formes…, ces trésors cachés de la Route de la soie surprendront l’œil occidental par leur modernité. Des textes rédigés par des spécialistes du musée Guimet nous permettent de les interpréter comme des chefs-d’œuvre de l’histoire de l’art et du bouddhisme.
Reza à la rencontre des enfants réfugiés en Jordanie
Du 18 au 26 juin dernier, Reza s’est rendu en Jordanie où il a enseigné pendant quelques jours la photo à de jeunes réfugiés palestiniens et irakiens.
Organisé par National Geographic, l’ONG américaine International Medical Corp, et la fondation jordanienne « Jordan river », ce cours de photographie a été dispensé par des photographes de National Geographic. Un des buts de cette expérience était de libérer la créativité de ces jeunes et de leur permettre, en passant derrière l’objectif d’un appareil photo, de voir le monde autrement.
Au cours de sa carrière, Reza, a formé à de nombreuses reprises des réfugiés à la photographie. Ainsi, dans les années 80, Reza y a initié des réfugiés Afghans au Pakistan. Plus récemment, en 2006, c’est en Ouganda, que Reza a formé de jeunes réfugiés à la photo. Depuis toujours, le photographe utilise ce medium comme un outil de libre expression et de paix.
Cette semaine de formation qui s’est clôturée par une exposition de leurs photographies au Musée des enfants d’Amman. a permis, à ces jeunes réfugiés, âgés entre 13 et 19 ans, de se libérer, un temps, du poids et de la souffrance de l’exil et de la guerre.
Reza reçoit le titre de Docteur Honoris Causa de l’Université Américaine de Paris en récompense son parcours de photographe engagé et son action humanitaire.
Le 25 mai dernier, le photojournaliste franco-iranien Reza Deghati a été nommé Docteur Honoris Causa de l’Université Américaine de Paris (AUP). Ce titre, remis par la présidente de l’UAP Celeste Schenk, récompense son parcours de photographe engagé et son action humanitaire.
Le titre de Docteur Honoris Causa est décerné chaque année depuis 1984 par l’Université Américaine de Paris à des personnalités des arts, des lettres, du monde académique, scientifique et politique. On compte parmi eux Gene kelly, Bernard Kouchner, James Ivory, ou encore l’opposante birmane et lauréate du Prix Nobel en 1991 Aung San Suu Kyi.
Marie-Christine Navarro, professeur à l’UAP, a présenté Reza durant la cérémonie :
“Né à Tabriz, en Iran, ville d’intellectuels et de poètes mystiques, vous avez longtemps hésité entre la vocation d’architecte et celle de photographe, entre la figure du bâtisseur et celle du témoin. Eh bien Réza, permettez-moi de vous dire que durant toute votre vie, vous avez été fidèle à ces deux voies. Vous êtes resté à la fois l’humaniste partageant le sort de milliers de victimes civiles des conflits contemporains, réfugiés, femmes et enfants contraints à l’exil, et le témoin montrant par vos photos les terribles conséquences de la guerre pour l’humanité.
Vous n’êtes pas seulement un photographe de guerre : vos photos illustrent d’abord votre compassion pour toutes les victimes. Vous photographiez rarement des cadavres ou des soldats, excepté lorsqu’il s’agit d’enfants soldats, et quand vous prenez la photographie d’un mort, elle devient alors l’icône de la souffrance humaine. Les plus grandes photos que vous avez faites, Réza, atteignent à l’universel.
Dès lors, vos images, Réza, nous poussent à nous interroger sur la signification ambiguë du mot « civilisation ». Elles ne veulent pas être un choc, mais une source féconde pour la pensée.
Et parce que vous croyez qu’il n’y a pas de fatalité, vous avez foi en la transmission de la connaissance et en l’éducation. C’est pourquoi, avec l’aide de votre association Aïna fondée il y a huit ans, vous avez formé des centaines et des centaines de journalistes, de cinéastes, de femmes vidéastes, spécialement à Kabul, en Afghanistan, où la question de l’éducation est cruciale pour l’avenir de toute la région. Il ne s’agit pas tant pour vous d’ « aider » les populations victimes de guerres que de leur fournir les outils propres à leur libération, dont elles auront alors le libre choix. »
Reza a reçu sa décoration aux côtés de Christine Lagarde, ministre de l’Economie et des Finances, Naïf Abdullah Al-Rukaibi, sous-secrétaire des Affaires publiques du Koweït, et l’actrice et danseuse franco-américaine Leslie Caron.
Une exposition photographique inédite de Reza dans la Vallée de Panjshir en Afghanistan
Le 22 mai 2009, le photo-reporter Reza a tenu à rendre hommage à l’Afghanistan et à son peuple, en partageant certaines de ses photographies les plus célèbres de Massoud et des Afghans, prises au cours de 30 ans de reportage.
Dans la vallée du Panjshir, autour de la tombe de Massoud, une cinquantaine d’images illustrants le combat du légendaire chef afghan contre les Russes, puis contre les Talibans, était dressée dans un décor de chars et d’artillerie soviétique, vestiges de la guerre.
La cérémonie d’ouverture de cette exposition permanente et unique a attiré plusieurs centaines de visiteurs, parmi lesquels Ahmad Wali, le frère de Massoud, ainsi que l’ancien Ministre des Affaires Etrangères afghan, Dr.Abdullah. Dans leur allocution, ces derniers ont précisé que: “les photos de Reza et plus particulièrement, la photographie du portrait de Massoud ont eu un impact national et ont permis de faire connaître à l’échelle internationale le destin des Afghans.”
Distribution mondiale de “Reza, entre guerre et paix, 30 ans de reportages” par National Geographic Book Division
A l’occasion des 120 ans de National Geographic, cette superbe monographie de Reza éclaire les lieux et les événements les plus dramatiques de notre temps et rend hommage à des vies bouleversées à jamais par la guerre.
A travers texte et photos, Reza nous transmet tout le désarroi des hommes pris dans la tourmente, mais aussi les cultures du monde auxquelles ils appartiennent, les traditions, l’histoire et, plus que tout, son espoir infaillible en un monde meilleur.
Cet ouvrage de référence nous fait voyager à travers le monde au cœur de son actualité la plus dure : au nord du Pakistan où conflit culturel et incompréhension règne; en Libye avec la question des libertés individuelles et collectives; l’Arabie Saoudite, et ses contrastes entre les princes du pétrole et la misère et enfin, l’Afghanistan.
Profondément engagé dans les combats pour la justice et marqué par son destin d’exilé, né en Iran et photographe internationalement reconnu, Reza consacre sa vie à témoigner. Spécialiste du Moyen-Orient et de l’Asie, il photographie 30 ans de luttes et d’espoirs pour la presse internationale comme le National Geographic Magazine,Time Magazine, Stern, Newsweek, Paris-Match, Géo…
Pour les passionnés de photographies et pour tous ceux qui s’intéressent à l’actualité, à l’histoire du monde, aux crises politiques, et aux destins des hommes, cet ouvrage apporte un éclairage essentiel.
De Venise au fin fond de la Chine, les routes de la Soie demeurent plus que jamais un axe mythique. Un chemin initiatique sur lequel l’Orient et l’Occident ont échangé des biens et des idées pendant des siècles. Aujourd’hui, l’esprit de cette route perdure dans les oasis et les caravansérails, dans les villes qui s’étalent de la vieille Europe à l’Asie profonde. Cet esprit d’hospitalité, de concorde, d’échange entre les hommes, et donc d’ouverture à l’Autre, se retrouve dans les paysages, dans les patrimoines, dans les trésors qui se cachent le long de la route de négoce et d’invention, d’Istanbul à Xian, de Konya à Samarcande, de Bakou à Bamyan où les bouddhas détruits semblent encore respirer de leur sagesse. Autant de messages de tolérance, autant d’oasis de la pensée. Dans ces temps troubles de civilisations en rupture, la route de la Soie – l’anti-route des croisades – plaide au contraire pour un rapprochement. Une route qui nous renvoie aussi à nos origines et à la nostalgie du nomadisme. Ce livre, qui mélange l’histoire et le temps présent, est une plongée dans le mythe en même temps qu’une invitation au voyage.
Deux enfants dansent. Insouciants comme le vent, libres et joyeux comme les oiseaux du ciel.
Deux fillettes jouent avec la brise dans une épaisse fumée noire.
Moment d’oubli, le temps de l’insouciance.
En Afghanistan, « être insouciant » se dit « avoir les ailes légères ».
Qu’ils vivent sur le toit du monde, en Egypte, au Cambodge ou au Pakistan, tous les peuples ont su préserver cette richesse. Sur sa route de photographe engagé, Reza, poète du regard, sait surprendre le temps et s’arrêter pour saisir des instants qui invitent à la rêverie.
Des instants qui deviennent des moments de grâce, hors des conflits et des tourments de la vie.
Format: 330 x 390 mm
Nombre de pages: 52 pages
Date de publication: Novembre 2004
ISBN : 2 – 912756 – 99 – 5
Éditeur: Castor & Pollux
Couverture: Rigide
Prix: 28€
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En 1990 dans l’Afghanistan libéré de l’occupation russe, les Nations Unies m’avaient demandé de laisser mes appareils afin d’assurer un programme humanitaire. Je devais ouvrir une route du blé pour alimenter la population dans les provinces du Nord. Onze années de guerre contre l’armée Rouge avaient ravagé le pays. Les champs étaient en friche, les routes impraticables, minées ou détruites, les infrastructures de base comme les cliniques ou les écoles n’étaient plus que ruines.
Ce blé, j’aurais pu le donner. J’ai plutôt décidé de l’échanger contre du travail, évitant ainsi une des conséquences fâcheuses de certains programmes humanitaires : l’assistanat. Dans toute la province, une nouvelle armée se mit en marche : des hommes munis non plus de fusils, mais de pelles.
J’ai croisé le regard de ce petit homme pendant une distribution de blé.
Près de dix ans plus tard, il est devenu la figure emblématique de l’association humanitaire Aïna, que j’ai fondée en 2001 avec des jeunes passionnés de la communication, dans un Afghanistan libéré cette fois des Talibans.
Et si la pousse qu’il montre fièrement était celle qu’Aïna s’est donné pour objet de planter dans les pays où la liberté d’expression n’existe pas ?
Ce livre fascinant, d’une force saisissante, est une hymne à la beauté, traquée aux quatre coins du monde, là où d’autre ne verraient que la misère, la guerre ou la grisaille du quotidien.
C’est là toute la force de Reza, ce talent unique, cet œil capable de voir et de saisir des instants sublimes, authentiques, exotiques, poétiques, qui réchauffent le cœur.
Photographe engagé que sa propre histoire a condamné à l’exil, Reza est un humaniste que ses sujets ont souvent conduit vers celles et ceux qui, sans le témoignage de photographes tels que lui, seraient condamnés au silence et à l’oubli.
Plus loin sur la terre, il y a des hommes, des femmes et des enfants qui sourient, qui jouent, qui aiment, malgré tout.
Les deux journalistes Reza et Olivier Weber mettent en relief la situation de l’Afghanistan à travers les richesses de son peuple : son patrimoine culturel, son artisanat, ses traditions. Ouvrage publié dans le cadre du programme de soutien de l’UNESCO à la reconstruction de l’Afghanistan dans les domaines de l’éducation, de la culture et de la communication.
Ahmad Shah Massoud, le “Lion du Pandjshir”, principal opposant au régime des Talibans depuis 1996. Massoud, chef de guerre et combattant de la liberté dès 1979, contre l’envahisseur soviétique. Vingt années de résistance, vingt années passées à porter le flambeau de la liberté et tenter d’imposer la paix en Afghanistan. Un portrait intime et réaliste du commandant Massoud et de sa résistance afghane, à travers vingt ans de photoraphies de Reza, celui avec qui Massoud “aimait jouer aux échecs lorsque les canons se taisaient” . Une épopée unique commentée par des textes de Jean-Pierre Perrin, journaliste à Libération, spécialiste d’ l’Afghanistan.
Ils sont entre 12 et 25 millions, personne ne connaît le chiffre exacte, répartis entre l’Iran, l’Iraq, la Turquie et la Syrie. Leurs villages et leurs champs sont systématiquement brûlés, les habitants expulsés, déportés ou massacrés. Un ancien peuple nomade est devenu un peuple de réfugiés et d’exilés.
Reza, Iranien et exilé en 1981, photographia en 1979 la révolte kurde contre le régime iranien de Khomeiny. Depuis 16 ans, ce reporter courageux et engagé, qui travaille pour le National Geographic Magazine, témoigne continuellement de l’implacable lutte du peuple Kurde pour la liberté et l’autonomie.
Les Kurdes sont les héritiers de l’une des plus vieilles cultures orientales. Depuis longtemps cependant, leurs grands poètes ont été réduit au silence; parler ou écrire le kurde est considéré comme un crime et entraîne la prison, la torture ou la mort. Le chant des Kurdes s’est éteint.
Format : 115 x 180 mm
Nombre de pages : 142 pages
Date de publication : 1er janvier 1995
ISBN : 3-7165-0961-2
Editeur : Benteli
Langue : Français et Allemand
Type de couverture : Souple
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Le 20 juin 1992, 31 avions s’envolent de Genève pour une aventure sans précédent dans l’histoire de l’aviation.
En 24 jours, ils vont traverser 4 continents, 3 océans et survoler la mystérieuse Sibérie pour rejoindre l’Alaska, sous un soleil de minuit.
Reza, célèbre reporter photographe, témoin de part le monde des guerres et des injustices, des révolutions et des tourmentes depuis 15 ans pour Time, Newsweek, National Geographic, Stern, Paris-Matche t pour les plus grands organes de presse internationaux, décide de les accompagner.
Comme en 1987 sur la Course aérienne Paris-Pékin, il a tenu à saluer la ténacité de celles et ceux qui, dans la lignée de Saint-Exupéry, Emler et Mermoz de l’Aéropostale ; s’envolèrent pour un périple autour du monde.
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